Actualités municipales

  • Des jalons d’importance se succèdent au projet de tramway de Québec

    Québec, le 28 août 2023 – Le processus d’approvisionnement du volet infrastructures du projet de tramway se poursuit avec succès. Comme prévu au calendrier, la Ville de Québec a reçu les propositions techniques des soumissionnaires le 24 août dernier. « Le projet de tramway avance ! Nous marquons des jalons importants pour sa réalisation, mais nous souhaitons nous donner plus de souplesse pour nous assurer que le projet se réalise à son maximum. Nos équipes sont composées de véritables leaders en la matière et sauront mener le projet qui fera entrer la mobilité de Québec dans la modernité, affirme M. Bruno Marchand », maire de Québec. Par ailleurs, puisque la Ville de Québec a accepté une demande de report de quatre semaines, la prochaine étape du processus d’approvisionnement sera franchie le 2 novembre prochain avec le dépôt des propositions financières et de l’échéancier de réalisation. Au cours des derniers mois, plusieurs éléments ont fait cheminer de façon importante le projet de tramway. À ce titre, deux des trois contrats majeurs ont été signés, soit celui avec CSiT pour l'implantation des systèmes d'exploitation et de mobilité et celui avec Alstom pour le matériel roulant. Par ailleurs, le projet a reçu l’aval du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) par l’entremise d’un second décret environnemental pour la portion du tracé comprise entre les pôles d’échanges de Saint-Roch et D’Estimauville. De même, le dépôt du dossier d’affaires, auprès du gouvernement du Québec au début du mois de juillet, permettra ultimement de passer de la phase de planification à la phase de réalisation des travaux. À ces étapes déterminantes, s’ajoute l’intérêt de l’industrie de la construction et des firmes de génie-conseil à contribuer à la réalisation du tramway, notamment en réponse à des d’appels d’offres pour les besoins d’aménagement d’une zone de connexion au parc Victoria destinée au réseau de transition du Réseau de transport de la Capitale (RTC), de nouveaux forages géotechniques ainsi que pour des services professionnels en lien avec des travaux préparatoires sur les réseaux techniques urbains et les réseaux municipaux (aqueduc et égouts) dans le secteur du boulevard René-Lévesque. La somme de ces initiatives permettra de poursuivre la phase de réalisation à grande vitesse. À propos du tramway de Québec La Ville de Québec met en œuvre le plus important projet de son histoire : le tramway de Québec. Sur un tracé de 19,3 km de Cap-Rouge à D’Estimauville, ce tramway moderne et 100 % électrique constituera la colonne vertébrale d’un réseau de transport en commun bonifié sur tout le territoire de la ville. Fréquent, à horaire fixe et confortable, le tramway offrira une alternative de transport attrayante qui limitera l’aggravation des conditions routières, réduira l’impact sur l’environnement et améliorera la qualité de vie des citoyens. Son intégration urbaine exemplaire contribuera à l’embellissement et à la convivialité des quartiers traversés avec un meilleur partage de l’espace public, davantage d’espaces sécuritaires pour les piétons et les cyclistes, des infrastructures d’accueil de qualité, du mobilier urbain renouvelé, de nouveaux espaces publics, une végétation bonifiée et la remise à neuf des infrastructures de surface et souterraines. Digne d’une capitale du 21e siècle, le tramway positionnera Québec comme l’une des villes les plus attrayantes au pays.
  • Des financements à QI pour l’attraction de talents, d’investisseurs à l’international et le soutien d’entreprises innovantes

    Québec, le 5 juillet 2023 – La Ville de Québec annonce l’octroi de deux subventions à Québec International pour réaliser des projets d’attraction d'investissements directs étrangers, de talents, d'étudiants, d’accompagnement d’entreprises innovantes et d'entrepreneurs internationaux pour l'année 2023. Ces ententes sont réalisées dans le cadre du volet Soutien aux organismes d'entrepreneuriat, de développement économique et d'accompagnement d'entreprises de la Vision entrepreneuriale Québec 2026, en partenariat avec le gouvernement du Québec. « Québec International est un joueur important dans le recrutement et la rétention de main-d’œuvre. Une organisation essentielle pour notre vitalité économique, a déclaré le maire de Québec, M. Bruno Marchand. C’est un plaisir pour nous de contribuer à l’effort pour l’attraction de notre main-d’œuvre, si nécessaire pour nos entreprises. En plus de jouer un rôle crucial, QI se fait également un excellent promoteur de notre ville partout sur le globe afin de maintenir notre place de leader dans plusieurs domaines. Notre belle collaboration se poursuit. » « L’obtention de cet important appui financier permettra à Québec International d’accélérer la réalisation de ses mandats visant l’entrepreneuriat technologique, l’attraction d’investissements étrangers et de talents, a ajouté Carl Viel, président-directeur général de Québec International. Je tiens à remercier la Ville de Québec de cette confiance renouvelée, une collaboration bénéfique pour le développement économique du territoire, qui nous permet d’aller encore plus loin dans nos efforts pour soutenir la croissance des entreprises tout comme des projets porteurs. » Attraction d'investissements directs étrangers, de talents, d'étudiants et d'entrepreneurs internationaux pour l'année 2023 Le premier projet, financé à hauteur de 708 000 $, consistera à : Développer un accompagnement pour les filiales internationales dans leurs défis et leurs projets de croissance dans la région de Québec; Mettre en œuvre une stratégie proactive de prospection et d’accompagnement des investisseurs étrangers; Accroître la visibilité de la région et de ses atouts au sein des réseaux à fort potentiel d’investissement; Déployer une stratégie de prospection et d’accompagnement des entrepreneurs internationaux; Développer et consolider des partenariats locaux et internationaux pour le démarchage et l’accompagnement; Réaliser des missions et des actions de recrutement de travailleurs et d’étudiants internationaux; Maintenir une offre de service-conseil et de formations en mobilité internationale; Promouvoir la région de Québec auprès des travailleurs, étudiants et entrepreneurs internationaux; Déployer des mesures de soutien aux nouveaux arrivants (travailleurs, étudiants et entrepreneurs internationaux). Le projet répond aux orientations de la Stratégie de développement durable de la Ville de Québec puisqu'il permet de sensibiliser, de motiver et de soutenir les entreprises dans l'adoption de modèle d'affaires durables et responsables. Le coût total du projet s'élève à 2 436 945 $ et bénéficie de l’appui du gouvernement du Québec, du gouvernement du Canada et de partenaires privés. Soutien aux entreprises en entrepreneuriat technologique, en innovation et en exportation dans les secteurs prioritaires et stratégiques pour l'année 2023 Le deuxième projet, financé à hauteur de 864 000 $, visera à concevoir, à coordonner et à produire des activités en entrepreneuriat technologique, en innovation et en exportation dans les secteurs prioritaires et stratégiques. Les principales composantes sont les suivantes : Soutien à l’entrepreneuriat technologique et innovant; Soutien à la commercialisation et à l’exportation; Soutien à l’innovation; Soutien au développement des secteurs de force. Le projet répond aux orientations de la Stratégie de développement durable de la Ville de Québec, puisqu'il permet de sensibiliser, motiver et soutenir les entreprises dans l'adoption de modèle d'affaires durables et responsables. Le coût total du projet s'élève à 3 160 906 $ et bénéficie de l’appui du gouvernement du Québec, du gouvernement du Canada et de partenaires privés.
  • Québec, ville de cinéma et de télévision : plus de 1,4 M$ octroyés aux producteurs locaux

    Québec, le 7 juillet 2023 – La Ville de Québec et le gouvernement du Québec octroient en 2023 plus de 1,4 M$ aux producteurs de cinéma et de télévision de la Capitale-Nationale, une aide substantielle qui contribue à l’essor et au dynamisme de l’industrie. Ces sommes sont versées par le biais de la Mesure d’aide au démarrage de productions cinématographiques et télévisuelles, le Soutien à la production de longs métrages et de séries télévisées et le Soutien à la production de courts métrages et de webséries. Soulignons que la Ville est pionnière dans l’aide qu’elle offre à l’industrie et qu’elle permet de faire travailler significativement la main-d’œuvre locale et de générer d’importantes retombées financières dans la région au cours de l’année. « À Québec, nous avons de grandes ambitions pour l’industrie de la télévision et du cinéma, a mentionné Mme Catherine Vallières-Roland, membre du comité exécutif responsable de la culture et des grands événements. Pour y arriver, il est primordial de pouvoir soutenir les producteurs locaux dans leurs projets afin de faire rayonner partout l’incroyable talent d’ici. Merci aux acteurs du milieu de collaborer et de croire au positionnement de Québec comme capitale culturelle! Nous avons de quoi être fiers de ce qui se fait chez nous! »
  • Équipements régionaux de la MRC de Vaudreuil-Soulanges – La MRC de Vaudreuil-Soulanges remet 25 000 $ à la Maison Trestler

    Vaudreuil-Dorion, le 30 août 2023 – La MRC de Vaudreuil-Soulanges est fière de soutenir les équipements régionaux sur son territoire et remet 25 000 $ à la Maison Trestler. Les sommes reçues servent à concrétiser des projets et à investir pour la conservation de ce bâtiment de haute importance architecturale afin qu’il perdure pour les prochaines générations. Des actions ont été posées pour la conservation de cette magnifique résidence patrimoniale, dont un investissement important pour la restauration et l’entretien des lucarnes et des fenêtres à l’étage. Des actions ont aussi été réalisées pour améliorer l’expérience pour le service à la clientèle et une nouveauté est proposée au public : la reconstitution historique des étapes de construction de la Maison Trestler en modélisation format 3D. « Ce financement renouvelé réitère l’importance que la MRC accorde à la diversité de l’offre culturelle et à la conservation du patrimoine dans la région. Les événements organisés par la Maison Trestler représentent une offre culturelle dont nous sommes fiers en plus de faire rayonner la région depuis 225 ans. » souligne M. Patrick Bousez, préfet de la MRC de Vaudreuil-Soulanges et maire de Rivière-Beaudette. « Grâce à des partenaires comme la MRC de Vaudreuil-Soulanges, cette résidence patrimoniale peut demeurer un lieu de rencontres et de divertissements à saveur culturelle et sociale en plus de partager l’histoire de la famille Trestler et ses descendants. » ajoute Mme Louise LeBlond-Vallée, directrice générale de la Maison Trestler. À propos de la Maison Trestler La Maison Trestler est un carrefour culturel régional qui accueille en ses murs bicentenaires de nombreux artistes en arts de la scène et en arts visuels. Elle a été classée monument historique en 1969 par le gouvernement du Canada, et en 1976 par le gouvernement du Québec, et ce, pour sa valeur historique et architecturale. La Maison Trestler souligne ses 225 ans cette année et a présenté, cet été, la 38e édition de son festival de concerts d’été.
  • Des aides financières pour des projets de mise en valeur du territoire public

    Le ministre de la Culture et des Communications et responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région de l’Outaouais, Mathieu Lacombe, a annoncé, au nom de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina, que plus de 2,2 M$ seront octroyés pour financer différents projets d’aménagement dans le cadre du troisième appel de projets du volet 2 du Programme d’aide à la mise en valeur du territoire public. Au total, ce sont 28 initiatives, réparties dans 12 régions du Québec, qui bénéficieront d’un soutien pour l’implantation et l’expansion d’aménagements publics et communautaires sur les terres du domaine de l’État. Trois projets ont été retenus au Témiscamingue. La Ville de Belleterre obtient un montant de 41 066 $ pour un projet d’aménagements communautaires aux abords du lac aux Sables et un second montant de 25 020 $ pour un projet d’aménagement d’une halte riveraine, toujours aux abords du même lac. De son côté, la MRC de Témiscamingue se voit remettre une somme de 88 009 $ pour l’aménagement de lignes électriques au lac Rocher. « La Ville de Belleterre a déjà amorcé depuis plusieurs années l’aménagement du secteur du lac au Sable, avec des résultats plus que positifs. Belleterre pourra donc continuer sur sa lancée! De son côté, en aménageant les lignes électriques au lac Rocher, la MRC de Témiscamingue permettra à une vingtaine de terrains de villégiature d'être raccordés au réseau d’Hydro-Québec. Ceci fera en sorte d’améliorer de la qualité de vie et de l’environnement des villégiateurs. Je me réjouis que les sommes accordées aujourd’hui viennent bonifier l’attractivité de secteurs du territoire témiscamien », explique Daniel Bernard, député de Rouyn-Noranda–Témiscamingue. Le Programme d’aide à la mise en valeur du territoire public a été lancé en avril 2022, afin d'appuyer la mise en œuvre du Plan de mise en valeur du territoire public 2022-2026. Ces deux initiatives concourent à l'amélioration de la qualité de vie des milieux régionaux par la mise en valeur du territoire public qui soutient nombre de leurs activités. Le programme est doté d'une enveloppe de 24 M$ sur quatre ans pour soutenir différents projets de la part de municipalités, de petites et moyennes entreprises, d'organismes à but non lucratif et de communautés autochtones.
  • La Ville finance 7 organismes pour soutenir le démarrage d’entreprises et d’OBNL

    La Ville octroie plus de 3,58 M$ à des organismes d’accompagnement pour soutenir des jeunes pousses et des organisations en économie sociale. Cette aide permettra de contribuer au développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation, des éléments essentiels pour la croissance de la métropole. Organismes retenus CTS Santé CTS Santé vise à accompagner 30 jeunes pousses du secteur des technologies médicales et de la santé numérique, notamment dans la validation clinique, la commercialisation, la stratégie de pénétration de marché et le développement de produits. HEC Montréal HEC Montréal souhaite offrir à 45 propriétaires d’entreprises de la diversité des ressources pour lancer un projet d’affaires en cybersécurité, en commerce de détail ou en ligne. MTLab Le MTLab propose 3 programmes pouvant accueillir jusqu’à 50 jeunes pousses par année. Le financement permettra de compléter l’offre de l’organisme en structurant l’aide aux anciennes cohortes de l’incubateur pour poursuivre leur croissance. Zù Zù propose un nouveau service d’accompagnement en continu pour une durée minimale d’un an à 90 jeunes pousses des industries culturelles, créatives et du divertissement, selon la méthode éprouvée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Maison de l’innovation sociale Avec l’Incubateur civique, la Maison de l’innovation sociale propose d’accompagner jusqu’à 60 équipes formées de citoyennes et citoyens, de collectifs et de petits OBNL dans le démarrage de projets ayant un fort potentiel d’impact social. L’aide permettra également de renforcer les activités de rayonnement, de maillage et de soutien des lauréates et lauréats des 5 dernières années du programme. Réseau Coop Réseau Coop veut mettre en œuvre son plan d’action et faire croître son continuum de services en offrant aux coopératives et aux OBNL de l’économie sociale des activités de sensibilisation à l’entrepreneuriat collectif, de soutien au démarrage et de perfectionnement. Il entend rejoindre 450 organisations sur une période de 3 ans. Microcrédit Montréal L’aide accordée à Microcrédit Montréal facilitera l’accès au capital et au développement de compétences des entrepreneurs et entrepreneuses qui ont des difficultés à accéder au réseau traditionnel de financement, notamment les personnes immigrantes, les personnes issues des communautés culturelles et les femmes. Ces investissements, rendus possibles grâce à l’entente Réflexe Montréal conclue avec le gouvernement du Québec, s’inscrivent dans les objectifs fixés par la Ville dans son plan stratégique Montréal 2030, qui visent à : appuyer l’innovation et la créativité du milieu des affaires pour accroître sa résilience économique et générer de la prospérité; développer une économie plus verte et inclusive en soutenant notamment l’économie sociale.
  • Développement durable : Mirabel se démarque

    La ministre canadienne de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, l’honorable Marie-Claude Bibeau, était de passage à Mirabel, le 7 juin dernier. Elle a visité l’écocentre du secteur de Sainte-Scholastique pour souligner l’immense succès de Mirabel dans le recyclage des plastiques agricoles usagés, grâce à AgriRÉCUP. Cette dernière est une organisation sans but lucratif, qui valorise les déchets agricoles. Elle a visité les installations et s’est entretenue avec le maire, Patrick Charbonneau, ainsi qu’avec Jérôme Duguay, directeur du Service de l’environnement et du développement durable. Les plastiques agricoles usagés collectés à l’écocentre incluent les sacs d’ensilage pour le bétail, les emballages de balles, les ficelles et les bâches. Une fois recyclés, ces produits sont transformés en nouveaux produits tels que des sacs en plastique, des revêtements de construction, du bois de construction composite et des poteaux de clôture pour l’agriculture. L’industrie agricole canadienne génère environ 60 000 tonnes de plastiques agricoles par an, dont 15 %, soit environ 9 350 tonnes, sont utilisées au Québec. « C’est un honneur d’avoir accueilli la ministre fédérale de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, l’honorable Marie-Claude Bibeau, à notre écocentre de Sainte-Scholastique. Cette visite démontre tout l’intérêt que la ministre accorde à l’une des missions de notre écocentre, soit la récupération des matières plastiques provenant des producteurs agricoles et acéricoles et à la qualité du site. Grâce à la collaboration de l’organisme AgriRÉCUP, nous pouvons être fiers que Mirabel, dont plus de 87 % du territoire est zoné agricole, contribue à la protection de l’environnement en offrant aux agriculteurs dont la collaboration est appréciable ce service de gestion des matières résiduelles », explique le maire, Patrick Charbonneau.
  • Une nouvelle ligne d'autobus à temps pour le retour en classe

    8 août 2023 Dès le 21 août prochain, une nouvelle ligne d’autobus reliera les secteurs de Saint-Augustin et du Petit-Saint-Charles à la gare de Sainte-Thérèse et au Collège Lionel-Groulx. La ligne sera active de 6 h à 23 h 15 la semaine et comptera une trentaine d’arrêts. Aux heures de pointe (de 6 h à 9 h et de 15 h à 19 h), le passage des autobus se fera aux 30 minutes. Le reste de la journée, il se fera aux 60 minutes. Les fins de semaine et les jours fériés, le service de taxis collectifs sera maintenu. L’ajout de cette ligne découle d’une collaboration étroite entre exo et la Ville qui a entendu les besoins de sa population en termes de transport en commun. Le trajet a été stratégiquement conçu pour relier un secteur en pleine expansion à un pôle éducatif et à une gare qui donne accès au centre-ville de Montréal. La croissance rapide de Mirabel et son vaste territoire exigent l’évolution de la desserte offerte par exo. Cette nouvelle ligne, qui suivra l’axe est-ouest, facilitera les trajets de nombreux étudiants et travailleurs et est offerte aux Mirabellois en plus des lignes additionnelles qui verront le jour dans le cadre de la refonte du réseau d'autobus d'exo dans le secteur Laurentides – Terrebonne-Ouest. Au cours des prochains mois, ces lignes additionnelles de la refonte seront mises en place afin de relier diverses autres zones à haute densité de population à des sites clés du réseau de transport en commun du Grand Montréal. En travaillant avec exo pour optimiser le transport en commun, Mirabel donne à ses résidents les outils nécessaires pour réduire leur empreinte écologique. « La Ville est très heureuse qu’exo ait pris la décision d’ajouter un circuit d’autobus pour desservir le secteur de Saint-Augustin. Ce service tant attendu facilitera le déplacement de nombreux travailleurs et étudiants qui gravitent dans ce secteur en plein développement. Je ne peux que me réjouir de cette nouvelle qui sera profitable pour les Mirabellois, les entreprises et les employés qui bénéficieront désormais d’une alternative en matière de transport. L’arrivée de cette nouvelle ligne est une victoire majeure, considérant la complexité de créer une offre de transport pour un territoire décentralisé comme celui de Mirabel avec ses nombreux secteurs éloignés les uns des autres. Avec la collaboration précieuse d’exo, nous avons surmonté ces grands défis et adapté la desserte aux besoins changeants de nos résidents », indique le maire, Patrick Charbonneau.
  • L'engagement social des jeunes reconnu à Granby!

    La Ville de Granby est heureuse d’encourager de nouveau l’implication des jeunes en remettant des bourses d’engagement social jeunesse. Ce programme de reconnaissance, qui s’inscrit dans le cadre de la politique jeunesse de la Ville, permet de souligner et de promouvoir la participation active des jeunes envers leur communauté. « Je suis fière de constater la grande implication sociale des jeunes Granbyennes et Granbyens. Ce geste d’engagement est une belle façon de redonner à sa collectivité. Grâce aux bourses d’engagement social jeunesse, nous souhaitons faire rayonner tous les jeunes qui investissent temps et énergie dans un projet, une cause ou une organisation qui leur tiennent à cœur », mentionne Mme Julie Bourdon, mairesse de la Ville. Les jeunes Granbyennes et Granbyens qui s’engagent dans notre communauté (école, quartier, organisme, etc.) sont invités à soumettre leur candidature avant le 15 octobre au granby.ca/bourses-engagement-social. Les récipiendaires peuvent recevoir une bourse allant jusqu’à 750 $. Conditions d’admissibilité • Avoir entre 14 et 29 ans; • Habiter à Granby; • Avoir réalisé le ou les projets sur le territoire de Granby au cours de l’année 2023. Prix Rayonnement Le jury sélectionnera une candidature qui s’est démarquée par son engagement exceptionnel à l’extérieur de la municipalité. « La participation citoyenne des jeunes démontre qu’il n’y a pas d’âge pour mettre à profit ses compétences et ses habiletés au sein d’une collectivité. Nous souhaitons les féliciter et les encourager à poursuivre sur cette voie », conclut Mme Geneviève Rheault, conseillère responsable des dossiers en développement social et qualité de vie.
  • Perspectives économiques BDC – À quoi s’attendre? Mercredi 27 septembre au mercredi 27 septembre 2023

    À propos de cet événement Le 27 septembre prochain, joignez-vous à Pierre Cléroux, vice-président, Recherche et économiste en chef à BDC, la Banque des entrepreneur.es du Canada, alors qu’il brossera un portrait de la situation économique actuelle ici et l’étranger. Découvrez comment l’inflation, la hausse des taux d’intérêt et le ralentissement économique qui se profile, changent notre environnement d’affaires. Voyez aussi comment les propriétaires d’entreprises peuvent façonner la suite dans ce nouveau contexte marqué par la rareté de la main d’œuvre et par les incertitudes à l’échelle mondiale. Ce dîner-conférence sera également précédé de deux ateliers-formations simultanés de 75 minutes, offerts gratuitement aux gens d’affaires qui auront réservé leurs billets. Atelier 1: L’ABC pour planifier l’automatisation de vos opérations sans se planter! (10 h à 11 h 15) L’automatisation est plus qu’un mot à la mode, c’est un des investissements les plus importants que vous avez à planifier pour la compétitivité et la pérennité de votre entreprise. Plus que jamais, les entreprises doivent faire face à l’intégration des technologies et de l’automatisation afin de s’adapter aux nouvelles réalités des marchés en évolution. Toutefois, comment peut-on automatiser ses opérations? Que devons-nous considérer pour l’adoption de la technologie et de l’automatisation de ses opérations? Un aperçu sur comment l’adoption des technologies et de l’automatisation de votre entreprise devrait être évaluée en tenant compte de l’ensemble des aspects de vos opérations, des investissements et de la gouvernance associés au succès de la transformation de votre modèle d’affaires pour ainsi assurer la compétitivité de votre entreprise. Conférencier: Stéphane Chrusten, conseiller d’affaires principal, efficacité opérationnelle Stéphane est ingénieur de formation avec plus de 30 années d’expérience, il a débuté sa carrière dans l’aéronautique et a poursuivi dans diverses entreprises manufacturières techniques. Il s’est également joint, au cours de sa carrière, à des équipes de consultation où il a fait l’implantation de diverses solutions. Il est un consultant senior et agit à titre conseiller en automatisation pour la pratique d’efficacité opérationnelle de BDC Services-Conseils. Ses nombreuses réalisations de gestionnaire exécutif dans plusieurs types d’opérations et de chargés de projets lui confèrent une expérience transversale dans les différents enjeux d’opérationnalisation. Il est à l’écoute des besoins des entreprises et vise l’application de solutions techniques et opérationnelles rentables et durables. Son esprit critique, sa capacité de synthèse et son approche sont tous des éléments qui procurent une grande valeur pour les projets dans lesquels il est impliqué.
  • Drummondville sera sur les rangs pour être l’hôte du Sommet international de l’innovation en villes médianes 2024

    La Ville de Drummondville posera sa candidature afin d’être la ville hôte du Sommet international de l’innovation en villes médianes (SIIViM) à l’automne 2024. Du même coup, l’organisation devient membre d’IVÉO, un organisme à but non lucratif accompagnant un réseau de villes désireuses de prendre part au virage des territoires intelligents et durables, ici et en France. « Cette candidature est porteuse de nombreuses retombées positives pour notre économie. Comme nous désirons développer davantage nos relations internationales et consolider nos initiatives innovantes, ce projet nous apparaît des plus intéressants. D’ailleurs, nous sommes déjà bien positionnés avec la présence à Drummondville du Centre national intégré du manufacturier intelligent », a affirmé Stéphanie Lacoste, mairesse de Drummondville. En lien avec la Planification stratégique 2023-2027 La créativité et l’innovation occupent une place prépondérante au sein de la Planification stratégique 2023-2027 de la Ville de Drummondville, celle-ci souhaitant appuyer le développement d’une économie innovante pour contribuer à la prospérité de toutes et de tous. En effet, Drummondville entend se positionner à titre de leader du développement économique innovant, en s’assurant que sa croissance économique entraîne des retombées positives à long terme pour le développement du territoire et l’amélioration du niveau de vie de sa population. « En collaboration avec nos partenaires, nous miserons notamment sur la force de notre secteur manufacturier en soutenant sa modernisation et en favorisant les pratiques et les procédés innovants au sein de nos entreprises. Notre adhésion à IVÉO est une autre étape franchie dans cette voie », a souligné Mme Lacoste, qui est également présidente du conseil d’administration de la Société de développement économique de Drummondville. Passerelles économiques Rappelons que le Sommet international de l’innovation en villes médianes, qui s’est tenu en 2022 à Thetford, permet de créer des passerelles économiques entre les villes médianes de partout à travers le monde et leurs entreprises innovantes. C’est en 2018 que le SIIViM a vu le jour à Nevers, en France, et s’est tenu depuis de façon alternée en France puis au Québec. Cet événement permet de favoriser la coopération économique, la mutualisation et co-construction de projets innovants, les échanges sur les usages et les services numériques, le partage de solutions autour du logiciel libre et l’accompagnement d’experts en numérique et en innovation. IVÉO : un réseau intelligent Dans sa volonté d’optimiser ses activités, de diminuer son empreinte environnementale et d’offrir un service hors pair à la population, la Ville de Drummondville profite maintenant de nombreux avantages grâce à l’adhésion à IVÉO. En devenant membre, la Ville bénéficie notamment d’un accompagnement spécialisé pour identifier, qualifier et déployer de nouvelles solutions intelligentes, tout en profitant d’un réseau de connaissances approfondies.
  • L’écoquartier Fortissimo s’installe au centre-ville!

    Un pas de plus vers la réalisation de l’ambitieux écoquartier Fortissimo a été réalisé ce matin : les vitrines de la maison de projet ont été dévoilées rue Heriot, ce qui permet véritablement au concept de s’implanter concrètement au centre-ville, à deux pas du site. Les passants ont maintenant une meilleure idée de ce à quoi se destine la Fortissimo, et donc de la vision des autorités municipales pour ce projet qui vise à transformer durablement la dynamique du centre-ville de Drummondville. « Nous posons un jalon supplémentaire dans la réalisation de ce projet « signature » pour Drummondville. La vitrine de projet est une première fenêtre sur ce nouveau quartier moderne, qui fera entrer Drummondville dans une nouvelle ère. Je suis très fière que ce projet chemine et de voir cette vitrine qui illustre merveilleusement ce projet important pour la population », a commenté la mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste. Un écoquartier nouveau genre à Drummondville Rappelons que la Ville a présenté, en 2019, une vision moderne pour l’aménagement du quartier de plus d’un million de pieds carrés situé au centre-ville de Drummondville. Guidée par une vision de développement durable, la Ville souhaite voir se réaliser un projet novateur qui veillera à favoriser le développement économique et social, en conciliation avec la protection de l’environnement et la conservation des ressources naturelles. En effet, l’écoquartier Fortissimo s’insère dans un milieu urbain et naturel d’exception, à mi-chemin entre les berges de la rivière Saint-François et le centre-ville, en plus d’être bordé par un pôle institutionnel d’importance régionale et à proximité de la gare VIA Rail. Ce nouveau secteur vient prolonger la dynamique du centre-ville en proposant un nouveau cadre de vie complet s’inspirant des meilleures pratiques d’aménagement. Résolument tourné vers l’avenir, le nouveau quartier se nourrit néanmoins de l’histoire du site et propose une valorisation de son patrimoine culturel et naturel unique. « Avec cette vitrine, j’invite tous les citoyens et toutes les citoyennes à découvrir le détail des aménagements prévus. Ils pourront ainsi constater que la nature ne sera pas négligée en se connectant avec les éléments naturels du site par la création d’une promenade riveraine, et l’extension d’une coulée verte vers la ville. L’écoquartier Fortissimo offrira résolument une expérience riche et à échelle humaine », a souligné Catherine Lassonde, conseillère municipale du district 3 et présidente de la Commission de développement du centre-ville et du projet Fortissimo.
  • Troisième édition du pop-up des fermes et restos Brome-MIssisquoi

    21 juillet 2023 // Communiqué Pour une troisième année, les producteurs à échelle humaine, restaurants hyperlocaux, cidriculteurs et vignerons de la région de Brome-Missisquoi se réuniront le 20 septembre 2023, remis le 27 septembre en cas de pluie, dans le cadre du très attendu Pop-up des Fermes & Restos qui se déploie chaque année dans une nouvelle municipalité de la MRC et qui aura lieu… roulement de tambour… à Bromont ! Pour l’édition 2023, le Pop-up F&R, qui a été nominé dans les derniers mois aux Lauriers de la Gastronomie québécoise dans la catégorie “Événement gastronomique de l’année” sera porté par l’entreprise d’économie sociale Collectif Récolte. De plus, pour que cet événement porteur puisse rayonner à son plein potentiel, l’équipe d’organisation pourra également compter sur l’appui de Bromont, la ville hôte de cette année et son équipe dédiée au projet Communauté nourricière, Bromont, montagne d’expériences, ainsi que de nombreux autres précieux partenaires qui seront présentés en bonne et due forme au cours des prochaines semaines sur les plateformes de l’événement. Ces derniers offriront un appui dans différents aspects de l’organisation du Pop-up F&R pour offrir une expérience qui surpassera les attentes des participants autant que des exposants. C’est donc du côté du Versant du Lac, au 500 chemin Huntington à Bromont, près du stationnement P5 de Bromont montagne d’expériences, que nous nous réunirons cette année pour célébrer la merveilleuse entraide et la collaboration qui existent entre les fermes et les restaurants du coin, l’abondance des récoltes et l’approvisionnement en circuits courts. Tel un “food court” gastronomique à ciel ouvert, les détenteurs de billets pourront déguster les créations uniques des meilleures tables locales, faire le plein de produits frais des fermes et boire ce qui se fait de mieux dans la région de Brome-Missisquoi, entre 16 h et 21 h. La prévente des billets à 25 $ débutera dès 2 3h 59 ce vendredi 21 juillet 2023 et se poursuivra jusqu’au 19 août. Le coût sera de 35 $ à compter du 20 août.
  • L’Alliance du corridor ferroviaire Estrie-Montérégie début les travaux d’une étude de faisabilité économique

    Bromont, le 7 juillet 2023 – Le début des travaux d’une étude de faisabilité économique pour le projet ferroviaire de l’ACFEM sur le corridor Lac-Mégantic-Montréal a été lancé par Louis Villeneuve, maire de Bromont et président de l’Alliance du corridor ferroviaire Estrie-Montérégie (ACFEM). Les principaux objectifs de cette étude consistent de dresser un inventaire des équipements et des usages le long du corridor ferroviaire, d’évaluer les sites des sous-projets et les infrastructures nécessaires à leur réalisation et de déterminer les coûts d’établissement des infrastructures liés au transport de passagers. La préparation de cette étude est possible grâce à une aide financière de 450 000 $ accordée par le ministère des Transports et de la Mobilité durable dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement du corridor ferroviaire Estrie-Montérégie conclue avec le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, la MRC de BromeMissisquoi et la Ville de Sherbrooke. À la suite de la réalisation de l’étude, un plan d’affaires devra être préparé afin de démontrer la viabilité économique et l’opportunité d’affaires pour les villes partenaires et le propriétaire des infrastructures ferroviaires, d’apporter certains correctifs et/ou de déplacer ou d’ajouter certaines activités ferroviaires, le tout en s’appuyant sur l’étude. Louis Villeneuve, président de l’ACFEM s’est exprimé en ces termes : « Cette étude de faisabilité n’aurait pas pu voir le jour sans le travail et le précieux appui du gouvernement du Québec et des ministères des Transports et des Affaires municipales et de l’Habitation. L’ACFEM a pu compter sur l’expertise des fonctionnaires qui nous ont guidés dans l’élaboration du devis technique et continueront de nous faire bénéficier de leur expertise. L’exécution de l’étude a été confié à la firme d’ingénierie EXP, qui a été sélectionnée après un processus d’appel d’offres rigoureux. Les résultats de l’étude nous permettront de mieux évaluer les coûts des projets de l’ACFEM et établir un plan d’action pour leur réalisation ». -30- À propos de l’Alliance du corridor ferroviaire Estrie Montérégie (ACFEM) L’Alliance du corridor ferroviaire Estrie-Montérégie (ACFEM) a été créée en réponse à la volonté des dirigeants municipaux d’améliorer la sécurité des populations qui vivent le long du corridor ferroviaire et de ses utilisateurs, d’utiliser ce dernier comme levier de croissance économique en favorisant la fluidité du transport de marchandises et d’éventuellement offrir un service de transport de passagers comme mode de transport alternatif. L’ACFEM regroupe l’ensemble des villes et municipalités situées le long du corridor ferroviaire de Lac-Mégantic jusqu’à Farnham.
  • L’arrivée de la filière batterie présentée au milieu des affaires bécancourois

    C’est devant plus de 100 convives réunies au Centre culturel Larochelle de Bécancour, que les intervenants de la Chambre de commerce et d’industrie du Coeur-du-Québec (CCICQ), de la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour (SPIPB), de la Ville de Bécancour, de la MRC de Bécancour et d’Investissement Québec ont pris la parole pour présenter le contexte local et régional de l’arrivée de la filière batterie sur le territoire bécancourois. Initiée par la CCICQ, cette rencontre informative a permis à l’ensemble des entreprises présentes d’être à l’affût des mises à jour qui englobent ce projet historique et des actions entreprises par chacune des instances présentatrices. Cette occasion de réseautage a aussi permis aux organisations d’entendre les questionnements de la communauté d’affaires, tout en suscitant le dialogue et les échanges avec celle-ci. « La CCICQ s’engage à orienter les entreprises et ses membres vers les bons acteurs économiques et les porteurs sectoriels appropriés ainsi qu’à les tenir informés de plus récentes mises à jour quant à la filière batterie et plus largement la Vallée de la transition énergétique. L’équipe permanente est mobilisée pour vous aider », de dire Marie-Ève Ferland, présidente de la CCICQ. La Ville de Bécancour a profité de cet événement pour dresser un portrait des récentes actions réalisées au fil des derniers mois notamment en termes de recrutement de main-d’oeuvre, de l’offre de logements et de services de proximité, de maintien et protection de l’environnement, tout en présentant divers actes posés en sécurité publique. « La filière batterie aura un impact considérable sur l’écosystème d’affaires et pour cette raison, la Ville a choisi d’exercer un leadership proactif. Il nous apparaît donc primordial de nous adresser aux intervenants du milieu économique, aux entrepreneurs et prestataires de services du grand Bécancour afin de présenter les actions mises en place par la Ville afin de répondre concrètement aux enjeux de ce grand projet historique et ainsi favoriser le maximum de retombées locales et régionales », exprime Mme Lucie Allard mairesse Bécancour. De plus, le président-directeur général de la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour, Donald Olivier, s’est adressé à l’auditoire pour démystifier ce qu’est la filière batterie et ce qui s’en vient à Bécancour en termes de grands projets. « La filière batterie à Bécancour est bien réelle, des chantiers sont déjà actifs et d’autres le seront aux cours des prochains mois et des prochaines années. C’est important d’aller à la rencontre des dirigeants d’entreprise pour leur fournir le plus d’information possible, certains y voient là de très belles opportunités et ils peuvent assurément contribuer aux succès de ce développement sans précédent pour Bécancour », ajoute M. Donald Olivier. Le représentant d’Investissement Québec, Marc André Houle, conseiller maximisation et marchés publics québécois, a également pris parole pour présenter les actions mises en place par un comité portant sur la maximisation des retombées. Investissement Québec joue un rôle de coordination entre les acteurs de la filière. Il contribue aussi à l’implantation de la filière batterie, notamment en offrant du financement aux entreprises et en accompagnant les joueurs internationaux qui choisissent de s’établir au Québec. La Société facilite également la maximisation des retombées économiques en encourageant l’approvisionnement auprès de fournisseurs québécois, en plus de soutenir les efforts des entreprises pour être plus productives avec son équipe d’accompagnement technologique et ses programmes de financement, et ainsi être plus compétitives lors de processus d’approvisionnement. Finalement, Investissement Québec collabore à l’évaluation des besoins en main-d’oeuvre entourant la filière batterie et aux réflexions quant aux programmes de formation et de qualification qui seront nécessaires. Avec plus de 100 entrepreneurs accompagnés par année et offrant de multiples programmes à ces derniers, En+reprendre MRC Bécancour a démontré son offre de service, tout en exposant le rôle de l’organisation. « Nous sommes heureux d’aider les entreprises à tirer un maximum de retombées de ce projet qui s’implantera dans les prochaines années », précise Daniel Béliveau, directeur général de la MRC de Bécancour.
  • Nouveau programme soutien financier de 1M pour les entreprises locales

    À l’aube d’une croissance importante et pour soutenir le développement des entreprises locales et des commerces de proximité, la Ville de Bécancour lance aujourd’hui un programme d’aide aux entreprises, doté d’une enveloppe totale de 1 M$. Ce plan de soutien, qui vise aussi à freiner les fuites commerciales, renforcer l’offre d’achat local et bonifier l’offre de services de proximité, sera adopté par règlement ce lundi soir, lors de la séance ordinaire du conseil municipal. « Ce nouveau programme rend possible, entre autres, le développement et le soutien des commerces locaux afin de créer et de maintenir des emplois dans la Ville de Bécancour, tout en respectant la capacité financière des contribuables. En cette période de croissance sur notre territoire et dans un contexte de relance économique, nous sommes convaincus que cette mesure permettra un nouvel essor pour les commerces de proximité à Bécancour », mentionne fièrement Mme Lucie Allard, mairesse de la Ville de Bécancour. Elle ajoute que le programme mis en place sert aussi de levier pour récupérer certaines des fuites commerciales notées à Bécancour. « Pour valider cette impression que nous avions que Bécancour fait face à des fuites commerciales, nous avons commandé une étude externe sur le sujet afin de bien planifier le développement commercial de notre territoire. Les résultats sommaires nous démontrent que c’est effectivement le cas. L’analyse confirme cependant qu’une part importante de ces fuites s’avère récupérable et c’est sur ce volet que nous souhaitons concentrer nos actions », soutient la mairesse. Les projets de relance déposés devront engendrer des retombées économiques, notamment en termes d’investissement, de création et de maintien d’emplois et de pérennité de l’entreprise, en plus de devoir respecter certains critères. Le plan de soutien aux entreprises vise les personnes qui exploitent une entreprise du secteur privé et qui sont le propriétaire ou l’occupant d’un immeuble, selon le cas, et situé sur le territoire de la Ville et où est exploitée cette entreprise. Subvention ou crédit de taxes L’aide financière annoncée pourra prendre la forme d’une subvention dont le montant ne peut excéder 50 % des dépenses admissibles du projet de relance, et ce, pour un maximum de 50 000 $ par bénéficiaire. La deuxième option du programme est un crédit de taxes pouvant être accordé à la suite d’un agrandissement ou de la construction d’un bâtiment commercial. Le soutien accordé à un même bénéficiaire en vertu du programme ne peut excéder 150 000 $. Soulignons par ailleurs que le cumul des aides financières gouvernementales et municipales ne peut dépasser 80 % des dépenses admissibles du projet. Il est à noter qu’une seule demande peut être déposée par une même entreprise. Analyse et échéance Un comité d’analyse est constitué afin d’analyser et de recommander l’octroi des aides financières en fonction de la disponibilité des fonds et en conformité avec le programme. Ce comité donnera ses recommandations au conseil municipal de la Ville de Bécancour, qui rendra sa décision par résolution quant à l’octroi ou non de l’aide financière. Les demandes de subvention pourront être déposées à l'entrée en vigueur (13 septembre 2023) du Règlement établissant un programme d’aide aux entreprises dans le contexte d’une relance économique qui sera adopté par le conseil municipal en séance ordinaire du 11 septembre 2023. Le programme d’aide se terminera au plus tard le 25 mars 2024. Les demandes seront donc reçues en continu jusqu’à cette date butoir ou lorsque la valeur totale du programme sera épuisée.
  • Mobilité durable - soutien pour l'électrification des transports

    Le conseil municipal de la Ville de Bécancour a adopté, lundi soir, sa Politique de soutien à l’électrification des transports, renforçant ainsi son approche d’un développement plus humain et durable pour les citoyens. Cette nouvelle politique démontre également que le soutien de la Ville à l’électrification des transports est cohérente avec l’implantation de la filière batterie sur son territoire. Un montant maximal de 6 000 $ par année est prévu au budget de la Ville de Bécancour pour le versement de subventions à cet égard. Cette aide financière est accordée pour chaque achat et installation électrique aménagée pour le branchement d’une borne de recharge. Concrètement, la Ville accordera une subvention correspondant soit à 250 $ ou à 50 % des coûts d’acquisition et d’installation d’une borne de recharge par un maître électricien. Il est important de préciser qu’une demande pourrait être refusée si le montant annuel est épuisé au moment de la demande. Cette nouvelle mesure a pour but d’encourager les propriétaires résidentiels et commerciaux à installer des bornes de recharge électrique pour soutenir la transition vers la mobilité électrique. Elle vise également à contribuer à l’expansion de l’infrastructure de recharge électrique dans la Ville et ainsi faciliter l’accès à des bornes pour les utilisateurs de véhicules électriques. « Le développement durable est une valeur très importante à Bécancour et c’est pourquoi la Ville est engagée dans la promotion d’une mobilité durable, qui favorise l’utilisation des véhicules électriques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mes collègues et moi sommes fiers de soutenir les propriétaires résidentiels et commerciaux dans leur implication vers la mobilité électrique en adoptant une Politique de soutien à l’électrification des transports. Cela représente une action concrète de plus vers nos objectifs », exprime la mairesse de Bécancour, Mme Lucie Allard. Rappelons que les demandeurs qui déposeront une demande pour leur commerce devront mettre à la disposition du public la borne installée.
  • Nouveau projet pilote de transport en commun

    La Ville de Bécancour de concert avec le Transport des personnes de la MRC de Bécancour, offriront tous les samedis et dimanches à compter du 2 septembre et ce jusqu’au mois de novembre, un projet pilote de service de transport en commun à arrêts multiples sur le territoire bécancourois. Les objectifs de cette nouvelle initiative sont d’offrir un circuit fiable, rapide et gratuit aux usagers, tout en encourageant les résidents de la rive-nord à venir profiter des attraits uniques offerts à Bécancour. Sous le concept d’un circuit rotatif soutenu par deux autobus des Autobus Hélie inc., les usagers pourront faire de multiples arrêts chez des partenaires touristiques et reprendre l’autobus de leur choix pour retourner vers la Rive-Nord selon l’horaire établi. Cette nouvelle offre se trouve à être une façon concrète pour mitiger les impacts des travaux faits sur le pont Laviolette, ceux-ci ayant considérablement nuit à l’attractivité de notre territoire et réduit l’achalandage pour la saison touristique 2023 chez de nombreux attraits du territoire Bécancourois. Les départs du côté trifluvien se feront au terminus de la STTR dans le District 55 à 10 h, 10 h 45, 11 h 30, 13 h, 13 h 45 et 14 h 30 soit à toutes les 45 minutes pour six départs. Il y aura possibilité de retour également à 15 h 15 et 16 h. Le circuit à arrêts multiples sur le territoire de la ville de Bécancour fera des arrêts au Musée de la Biodiversité Québec, au quai de Sainte-Angèle, au Vignoble du Clos de l’Isle, au Moulin Michel de Gentilly et au Marché Godefroy. L’horaire est disponible au www,becancour.net. Ce projet est rendu possible avec la participation financière du ministère des Transports et de la Mobilité durable et de la très grande collaboration du Transport des personnes de la MRC de Bécancour et des Autobus Hélie inc.
  • La Ville de Waterloo participera à une étude du potentiel de transposition de la Norme BNQ 21000 aux villes et aux municipalités pour la gestion du développement durable.

    Waterloo, Québec — 19 janvier 2022 En 2022, la Ville de Waterloo se prêtera à un projet de recherche dans le cadre d’un stage postdoctoral, réalisé à l’École de gestion de l’Université de Sherbrooke, en collaboration avec deux autres villes soit, Contrecœur et Varennes. Le but visé par cette étude est de s’interroger sur la transposition et l’emploi de la norme BNQ 21000 au sein des villes et municipalités du Québec. L’approche de ladite norme vise elle-même à guider et outiller les organisations selon les principes de développement durable dans toutes les sphères, stratégies et pratiques de gestion. D’abord, une première démarche visera à s’approprier la littérature et à explorer la faisabilité de la transposition. Celle-ci sera réalisée grâce à l’accompagnement de la postdoctorante Mme Corine Coho qui analysera entre autres, les différentes initiatives sur le plan international et veillera à l’arrimage avec les villes partenaires. La ville travaillera également avec plusieurs autres intervenants du développement durable, dont le professeur M. Thomas Mulcair de l’Université de Montréal, également auteur de la Loi québécoise de développement durable, la professeure Marie-Luc Arpin et le professeur Jean Cadieux de l’École de gestion de l’Université de Sherbrooke. « Le concept de développement durable est devenu un pilier quand on parle du futur de notre municipalité. Notre participation à ce projet nous permettra de structurer et d’aligner notre vision de développement territorial, économique, sociale et culturelle, tout en tenant compte de l’environnement. Nous croyons que cela peut être profitable pour nous assurer un milieu de vie dynamique, fort, résilient et durable. » — Jean-Marie Lachapelle, maire. Concrètement, la démarche permettra à la ville de définir son cadre de gestion selon ses propres enjeux, en s’assurant de les mettre en relation avec les différentes politiques et plans, comme le plan de gestion des eaux, le plan d’urbanisme, le plan de revitalisation du centre-ville, la politique culturelle et la politique familiale, tout en les alignant avec les objectifs de développement durable de l’ONU pour faciliter et soutenir un virage conséquent vers l’avenir. « La Norme BNQ21000 permet aux entreprises d’intégrer le Développement durable dans sa gestion. Lorsqu’on regarde de plus près les objectifs de développement durable de l’ONU, l’étude de la transposition de ce référentiel aux villes et municipalités est une suite logique. M. Lachapelle, Maire de Waterloo, dont les valeurs sont alignées sur le développement durable, a bien voulu participer avec son équipe et deux autres villes à l’avancement des connaissances. Ainsi, Waterloo sera à la fine pointe de la réflexion sur la société durable de demain. Merci pour votre participation. » - Pr. Jean Cadieux, Chercheur et résident de Waterloo.
  • L’Université de Sherbrooke parmi les plus influentes en recherche au pays

    Pour une 4e année de suite, l’Université de Sherbrooke figure parmi les 15 plus grandes universités de recherche au Canada, selon le palmarès Canada’s Top 50 Research Universities, un signe de croissance qui ne trompe pas. Dévoilés le 18 janvier par la firme Research Infosource, les résultats se basent sur les revenus de recherche obtenus pendant la période de 2020-2021. Pour l’UdeS, ceux-ci se chiffrent à 207,3 M$, une augmentation par rapport à l’année précédente. Les revenus de recherche désignent l’argent qu’une université reçoit en vue de soutenir ses activités de recherche : bourses aux chercheuses et chercheurs, subventions de recherche et contrats attribués par des entreprises privées ou par des organismes gouvernementaux ou à but non lucratif. Lorsqu’une université voit ses revenus de recherche augmenter, on peut y voir une marque de confiance de la part des entités subventionnaires, qui considèrent l’institution comme une solide alliée en innovation et en résolution de problèmes sociétaux. La recherche à l'UdeS se veut audacieuse, innovante et concrète. La recherche à l'UdeS se veut audacieuse, innovante et concrète. Photo : Michel Caron - UdeS Traitement de la maladie de Lyme, développement de matériaux plus verts, surveillance des forêts et des plans d’eau, prévention de la désinformation, diagnostic précoce du cancer, optimisation du réseau d’électricité, et plus encore : les projets de l’UdeS émergent d’une volonté de répondre à des besoins précis de la société. Selon le vice-recteur à la recherche et aux études supérieures, le professeur Jean-Pierre Perreault, cet élan n’est pas près de s’essouffler : Professeur Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l'UdeS. Professeur Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l'UdeS. Photo : Michel Caron - UdeS Depuis 4 ans, coup sur coup, l’UdeS maintient sa position enviable parmi les 15 plus grandes universités de recherche canadiennes. Ces résultats sont sans précédent pour nous et dénotent clairement que nous sommes sur une lancée. Et tout est en place pour poursuivre notre ascension. Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures Rappelons que l’an dernier, l’UdeS s’est brillamment démarquée dans ce palmarès en décrochant notamment la 1re place dans une catégorie inédite portant sur la croissance des revenus de recherche sur une période de 20 ans. Recherche partenariale : un ancrage solide pour poursuivre l’ascension La recherche partenariale, qui permet de jeter des ponts entre les laboratoires et l'industrie, est une force vive à l'UdeS. La recherche partenariale, qui permet de jeter des ponts entre les laboratoires et l'industrie, est une force vive à l'UdeS. Photo : UdeS En plus d’être reconnue pour ses activités de recherche concrètes dans divers domaines, l’UdeS se démarque par sa volonté d'aider les organisations à innover, que ce soit les organismes à but non lucratif, les PME, les municipalités ou les grandes entreprises. De nombreux projets de recherche bâtis sur mesure découlent de ces partenariats, lesquels contribuent grandement à cette position enviable qu’occupe l’UdeS dans le Top 50. Pour le recteur, le professeur Pierre Cossette, cette structure axée sur le partenariat est une véritable carte maîtresse : « Nous avons un écosystème qui permet de jeter facilement des ponts entre les laboratoires et l’industrie, ce qui augmente notre capacité à générer des connaissances transférables et à les mettre au service du bien commun. Cette particularité facilite aussi l’obtention de financements de recherche, d’où notre croissance constante au cours des dernières années. » L’UdeS est satisfaite d’arriver 15e au Canada’s Top 50 cette année, d’autant plus qu’elle sait déjà que sa progression se poursuivra dès l’an prochain. La recherche à l’UdeS, en bref : - Une communauté de recherche de plus de 6000 personnes - 6 créneaux d’excellence favorisant la recherche interdisciplinaire - 22 centres de recherche - 88 chaires de recherche - 2 laboratoires de recherche internationaux du CNRS, LN2 et un IRL - 6 instituts de recherche - Un milieu incomparable de formation à la relève scientifique - Une vingtaine de plateformes de recherche - Une structure d’appui favorisant le transfert technologique
  • 6,5 M$ de Québec pour l’organisme sherbrookois Espace-inc

    L’accélérateur d’entrepreneurs sherbrookois Espace-inc reçoit une subvention gouvernementale de 6,5 M$ de la part de Québec dans le cadre du Plan québécois en entrepreneuriat 2022-2025. Cette somme, qui représente un peu plus de 10 % de l’enveloppe totale réservée à l’axe 2 du plan, permettra à Espace-inc de continuer à se développer ailleurs en province. L’aide reçue par l’organisme sherbrookois provient de l’axe 2 du Plan québécois en entrepreneuriat 2022-205, axe qui prévoit essentiellement soutenir les accélérateurs d’innovation des écosystèmes régionaux ou bien offrir un financement adapté aux projets d’entreprises. Pour cet axe précis, le gouvernement dispose d’une enveloppe de 64,4 M$, ce qui veut donc dire qu’Espace-inc bénéficie d’un peu plus de 10 % de celle-ci. « On va essentiellement pouvoir offrir plus de services aux entrepreneurs. On aura la capacité d’offrir plus de coaching à des entrepreneurs dans plus de régions. [...] On pourra se déployer dans différentes régions et rencontrer les acteurs de ces régions », explique la présidente fondatrice et cheffe de l’innovation d’Espace-inc, Chloé Legris. « L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire », estime Joëlle Boutin. « L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire », estime Joëlle Boutin. LA TRIBUNE, ANTHONY OUELLET « L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire. Le gouvernement est un facilitateur et on doit compter sur des [organismes comme Espace-inc] qui travaillent dans les régions en collaboration avec les [espaces régionaux d’accélération et de croissance] », estime quant à elle la députée de Jean-Talon et adjointe parlementaire du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Joëlle Boutin. Mme Boutin ajoute que « dans une perspective de revalorisation régionale, c’est hyper important » comme annonce, car les services d’Espace-inc pourraient, selon elle, aider les gens à se démarrer plus facilement une entreprise hors des grands centres. Au total, en comptant les axes 1 et 2, Québec s’est doté d’une somme de 121,7 M$ pour son plan triennal en entrepreneuriat. Esprit entrepreneurial Présent lors de la conférence de presse, le directeur général d’Entreprendre Sherbrooke, Charles-Olivier Mercier, indique que cette annonce s’inscrit dans la volonté sherbrookoise d’être une référence en entrepreneuriat, par exemple avec l’élaboration du QG de l’entrepreneuriat au centre-ville. « Sherbrooke a fait le choix de mieux structurer ses dessertes des entrepreneurs [...], de maximiser leur accès à d’autres entrepreneurs, à des lieux de rencontres et de réseautage [...] via le QG. Ce dernier prend forme et la nouvelle d’aujourd’hui vient le rendre encore plus fort », souligne-t-il. Pour le maire suppléant de Sherbrooke et conseiller municipal du district des Nations, Raïs Kibonge, cette subvention octroyée à Espace-inc pourra faire rayonner cette entreprise et Sherbrooke ailleurs au Québec, allant même jusqu’à qualifier ce qui se passe en ville d’« effervescence entrepreneuriale ». Espace-inc a accompagné, depuis 2015, 250 entrepreneurs, selon les chiffres de l’organisme.
  • Mon commerce en ligne : un programme pour accompagner les entrepreneurs dans le virage numérique

    13 JANVIER 2023 La Ville de Saint-Jérôme et la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Jérôme métropolitain ont conjointement conclu un partenariat avec l’Association québécoise des technologies et l’École des entrepreneurs du Québec afin de propulser le programme Mon commerce en ligne auprès de la clientèle d’affaire de la région. Mon commerce en ligne a pour but d’accompagner 5 000 commerces de détail du Québec dans l’adoption des technologies et des services numériques pour augmenter leurs ventes et leurs revenus, développer de nouveaux marchés et optimiser leurs opérations, en complément à leur commerce physique. Plus précisément, le programme offre : un outil de diagnostic numérique; un plan d’action personnalisé; des formations en ligne; de l’accompagnement individuel avec des spécialistes du numérique et des affaires, selon le forfait choisi. Le tout accessible sur une seule plateforme en ligne, et à des prix abordables, grâce à l’appui financier du gouvernement du Québec et du Canada. De plus, les membres Desjardins peuvent obtenir un code promotionnel leur donnant 50% de rabais sur les forfaits Accompagnement express et Accompagnement complet. « La pandémie a frappé dur sur le commerce au détail, mais elle a aussi changé nos habitudes de consommation rapidement, faisant grimper la popularité du commerce en ligne en flèche. À Saint-Jérôme, nous souhaitons mettre toutes les ressources possibles à la disposition de nos entrepreneurs et commerçants afin qu’ils puissent prospérer encore longtemps. Grâce à l’appui financier de nos gouvernements, le programme Mon commerce en ligne est une véritable mine d’or pour tout entrepreneur qui souhaite être accompagné par des professionnels à moindre coût, afin de bâtir une stratégie d’affaires sur le Web », a déclaré Dominic Boyer, conseiller municipal de la Ville de Saint-Jérôme et président de la commission du développement économique et des finances. « La Chambre de commerce est fière de s’associer à la Ville de Saint-Jérôme dans le cadre du programme Mon commerce en ligne. Alors que nos commerçants doivent sans cesse compétitionner avec les géants de l’internet et tirer leur épingle du jeu, ce programme leur vient en aide pour faciliter leur transition vers le numérique et établir les fondations d’une économie locale durable », a affirmé John Tittel, président de la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Jérôme Métropolitain.
  • La Soirée Ès Arts honore cinq lauréats ayant contribué de façon exceptionnelle à la vitalité culturelle du Haut-Richelieu

    23 janvier 2023//Communiqués de presse 2023 La ballerine Rose Trahan, l’auteure Valérie Fontaine, le rédacteur en chef Gilles Lévesque et le Groupe LeSieur et frère sont les lauréats de la 16e édition de la Soirée è Arts. Le gala animé par le Théâtre du Bahut qui s’est déroulé le 19 janvier 2023 au Cabaret-Théâtre du Vieux-Saint-Jean vise à reconnaitre l’apport exceptionnel de personnalités de la région à la vitalité culturelle du Haut-Richelieu. C’est Andrée Bouchard, mairesse de Saint-Jean-sur-Richelieu, qui a donné le coup d’envoi à la soirée, confirmant l’importance de la culture dans notre communauté. Le PRIX RÉVÉLATION, associé à une bourse de 1 000 $ offerte par le Fonds Claude-Raymond a d’abord été remis à la danseuse professionnelle Rose Trahan, qui joignait récemment les rangs des Grands Ballets canadiens à titre d’apprentie. Ayant commencé à danser à l’âge de deux ans à l’école de Ballet Classique du Haut-Richelieu, elle a tenu le rôle principal de Clara dans le Casse-Noisette du Ballet Ouest de Montréal. De 2016 à 2019 elle a participé à plusieurs productions du Ballet classique Haut-Richelieu à titre de soliste invitée. Le PRIX RAYONNEMENT a été remis par le journal Le Canada Français à Valérie Fontaine. Auteure jeunesse, madame Fontaine a publié à ce jour 45 livres. Son livre Thomas, prince professionnel lui a permis de remporter le Grand Prix du livre de la Montérégie et le Prix du meilleur album du Magazine Enfants Québec en 2012, en plus d’avoir été finaliste pour le Prix des libraires. Désirant rendre accessibles ses histoires et toucher le plus grand nombre d’enfants, elle présente des heures du conte sur sa page Facebook et offre des animations dans plusieurs écoles du Québec, de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick. Le PRIX PARTENARIAT, remis par la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu, a été décerné au Groupe LeSieur et frère. Sensible au développement culturel de la région, son directeur général, Alain Paradis, ne manque pas une occasion d’engager l’entreprise auprès des organismes et diffuseurs. Partenaire de la SPEC du Haut-Richelieu à titre de présentateur de la série Cabaret jazz band LeSieur, de la Société de développement du Vieux-Saint-Jean pour Un Été Show et Mon Vieux Saint-Jean la nuit. L’entreprise met aussi en valeur depuis quelques années le travail créatif de l’auteure-compositrice-interprète Valérie Lahaie, qui est d’ailleurs leur porte-parole. Le PRIX HOMMAGE, assorti d’une bourse de 1 000$, a été remis par Réal Ryan, préfet de la MRC du Haut-Richelieu à Gilles Lévesque. Celui-ci a été honoré pour son apport considérable au rayonnement et au développement des artistes de la région. Passionné de musique, le journaliste et rédacteur en chef du Canada Français depuis plus de 40 ans a fait en sorte que ce journal ait des pages culturelles de qualité. En octroyant à la culture de la région une place de choix dans le traitement de la nouvelle, Gilles Lévesque a favorisé la promotion de nombreuses organisations culturelles et les artistes de la région. Les quatre lauréats ont eu le plaisir de recevoir une oeuvre créée par le sculpteur Daniel Granger. Les oeuvres de bois, finement sculptées, ont été soigneusement sélectionnées pour refléter la personnalité de chacun des gagnants. Bon coup culturel Le Bon coup culturel ayant obtenu le plus de votes du public et du jury parmi les 9 projets finalistes, est La légende de l’oie mère. L’oeuvre d’art éphémère, créée par Pascale Hébert, a été inspirée de la pause des milliers d’oies blanches sur la rivière Richelieu durant leur migration. L’oeuvre, une installation formée de deux plumes géantes de métal découpé, était visible de la bande du canal, flottant et tournant sur elles-mêmes au gré du vent durant tout l’été et l’automne 2022. Madame Hébert, à la tête de l’atelier Métal en jupe, a reçu un chèque de 1 000$ lui ayant été remis par la Corporation du Fort St-Jean. Le Homebrew Dixie Band a apporté une couleur musicale festive à la soirée. Le pianiste Gaétan Daigneault et l’auteur-compositeur Jeffrey Piton ont créé pour leur part des moments émouvants pour les lauréats, Valérie Fontaine et Gilles Lévesque auxquels étaient destinées leurs performances. Enfin, les spectateurs ont été éblouis par la prestation de Jean-Sébastien Couture, ancien danseur et premier soliste des Grands ballets canadien originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu. Sa performance rendait hommage à la gagnante du prix Révélation, Rose Trahan. La Soirée Ès Arts est une oeuvre collective de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu, la SPEC du Haut-Richelieu, NexDev | Développement économique Haut-Richelieu, la Société de développement Vieux-Saint-Jean, les Carrefours culturels du Haut-Richelieu, le Comité culturel du Haut-Richelieu et la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu. Le comité de la Soirée Ès Arts tient à remercier ses partenaires; la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu, la MRC du Haut-Richelieu, le Fonds Claude-Raymond, la Corporation du Fort Saint-Jean, le Canada Français, Desjardins, la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu, Louis Lemieux et Christine Normandin pour leur implication dans la réussite de cette soirée.
  • Nomination de M. François Bélanger à titre de directeur général de la Ville de Saint-Eustache

    (Saint-Eustache, le 27 janvier 2023) – Lors de la séance ordinaire du 16 janvier dernier, le conseil municipal de la Ville de Saint-Eustache a entériné la nomination de M. François Bélanger à titre de directeur général. Celui qui occupait jusqu’alors le poste de directeur général adjoint, module technique et environnement, succédera dès le 1er mars 2023 à M. Christian Bellemare, directeur général de la Ville depuis 2004. François Bélanger a fait son entrée à la Ville de Saint-Eustache comme directeur du Service du génie, poste qu’il a occupé de 2003 à 2009. Grâce à son important bagage technique et à ses compétences démontrées en gestion municipale, M. Bélanger a été promu, en 2009, directeur général adjoint du module technique, chapeautant ainsi plusieurs services de la Ville. En 2020, il s’est aussi vu attribuer la responsabilité du Service de l’environnement, devenant ainsi directeur général adjoint, module technique et environnement. « C’est avec grand bonheur que j’entre en poste comme directeur général de la Ville de Saint-Eustache et que je continuerai d’œuvrer pour la qualité de vie de mes concitoyens et concitoyennes. Je dispose d’une équipe chevronnée et engagée avec laquelle je suis fier de collaborer au quotidien, dans le plus grand des respects. Je tiens à remercier le maire, M. Pierre Charron, ainsi que les membres du conseil municipal, de m’accorder leur confiance et je veux saluer, avec grande amitié, le parcours de M. Bellemare, qui a été pour moi un réel mentor », indique le directeur général, M. François Bélanger. Détenteur d’un baccalauréat en génie civil de l’Université d’Ottawa, François Bélanger cumule plus de 20 ans d’expérience dans le domaine municipal. Dans l’optique de se perfectionner et d’acquérir de nouvelles connaissances, M. Bélanger a complété avec succès un certificat en leadership et habiletés de gestion de l’Université Concordia (2018) et travaille actuellement à l’obtention d’une maîtrise en développement des organisations de l’Université Laval.
  • Schéma d’aménagement et de développement

    Saguenay 2035 est une démarche de participation citoyenne qui s’inscrit dans le cadre de la révision du schéma d’aménagement et de développement. Un schéma d’aménagement et de développement (SAD), c’est quoi? C’est un document officiel qui permet à la Ville de Saguenay de planifier et d’organiser le développement de son territoire. En d’autres mots, le SAD sert à faire ressortir une vision globale du développement culturel, économique, social et environnemental de Saguenay dans un esprit de développement durable. Un SAD est un contrat d’engagement envers le gouvernement du Québec. Il aborde les grands enjeux actuels et à venir en matière de développement, dans le respect des orientations gouvernementales en aménagement du territoire (OGAT). Le processus de révision du Schéma, quoi et pourquoi? La Ville de Saguenay, qui joue un rôle de Ville-MRC, a l’obligation légale d’adopter un schéma d’aménagement et de développement et doit en faire la révision à tous les 5 ans. Ce processus est régi par la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme (LAU). Le schéma présentement en vigueur date de 2011. Saguenay souhaite en faire la mise à jour en tenant compte des préoccupations des citoyens en ce qui a trait aux grands enjeux auxquels la Ville doit faire face. La révision du SAD permet ensuite de mettre à jour le plan d’urbanisme de la Ville selon les nouvelles préoccupations en matière d’occupation du territoire. Le rapport final de consultation a été publié le 25 juin dernier. Vision stratégique de développement adoptée en juillet 2019 par le conseil municipal Saguenay 2035 | L’attractivité naturelle de la vitalité urbaine Au coeur d’un immense parc naturel, la métropole régionale de Saguenay rayonne par le dynamisme de sa population et la force de son économie. À titre de capitale boréale, Saguenay, avec sa créativité et son économie novatrice, poursuit son rôle de chef de file dans l’économie du savoir. Saguenay se développe de façon responsable et durable de par sa gestion cohérente avec son environnement et ses valeurs. La population de Saguenay participe et contribue à l’enrichissement du sentiment de fierté d’une collectivité toujours plus grande et diversifiée. La synergie entre ses milieux de vie renforce son caractère de ville exceptionnelle et recherchée. Portée et effets de la révision Schéma d'aménagement/développement Lien d'engagement entre le gouvernement du Québec et la Ville de Saguenay. Détermination de la vision et des grandes orientations de Saguenay. Plan d'urbanisme Outil de gestion et de planification du territoire. Divise le territoire en grandes zones selon ses caractéristiques. Règlements d'urbanisme Règlements de zonage, de lotissement, de construction, etc. Ils établissent les grandes règles de l'occupation du territoire. La révision est un processus large qui demande l’implication de toutes les personnes concernées par le développement économique, social et environnemental de la Ville de Saguenay. La planification du territoire, c’est d’abord et avant tout une vision commune, rassembleuse et qui reflète les désirs et les besoins d’une communauté. C’est pourquoi la participation active des citoyens et des organisations provenant de différents domaines est essentielle à la réussite de ce grand exercice de révision. Pour toute information supplémentaire concernant la révision du schéma d'aménagement et de développement, ou si vous aimeriez poser une question à l'équipe assignée à la gestion de ce projet, vous pouvez écrire à l'adresse saguenay2035@ville.saguenay.qc.ca.
  • EMPLOIS D’ÉTÉ ÉTUDIANTS

    Recrutement du 1er au 28 février 2023 Saguenay, le 1er février 2023 - La Ville de Saguenay renouvelle, pour 2023, l’image de sa campagne de recrutement pour les emplois étudiants. Pour la première capsule, des visuels colorés et ludiques rappelleront, par le maquillage, le domaine de l’emploi offert aux étudiants. Pour la deuxième, minou postule pour un emploi à Saguenay, afin de se payer un arbre à chat. Encore cette année, les médias sociaux comme Tik Tok et Instagram seront mis au cœur de la stratégie. La campagne se tiendra du 1er au 28 février. Des vidéos calquées sur un format connu de ces réseaux permettront de capter l’attention des jeunes et de leur faire valoir les opportunités d’emplois étudiants dans l’appareil municipal. Les candidatures doivent être soumises en ligne à l’adresse emploisetudiants.saguenay.ca. Cette méthode, qui vise à rejoindre les jeunes directement a connu du succès lors des deux dernières années. La municipalité recherche, entre autres, du personnel pour ses camps de jours, des sauveteurs ou sauveteuses, des horticulteurs ou horticultrices ainsi que des étudiants ou étudiantes en techniques policières, génie civil et bien plus. Tous ces postes garantissent un emploi à temps plein pour la période estivale.
  • PÔLE DE FORMATION COLLÉGIALE À BÉCANCOUR !

    À la lumière de récentes annonces d’investissements dans le parc industriel de Bécancour et afin de répondre aux besoins de développement de compétences dans la région, les services de formation continue des cégeps de Drummondville et de Victoriaville, de concert avec la Ville de Bécancour, se mobilisent et conjuguent leurs expertises. En tant que seules institutions collégiales autorisées à offrir de la formation continue créditée sur le territoire des MRC Bécancour et Nicolet-Yamaska, les trois organisations reconnaissent l’importance et l’ampleur des différents projets porteurs de la Filière Batteries qui viendront s’implanter sur le territoire de Bécancour et s’unissent pour répondre aux besoins de formation qui s’y rattachent. L’objectif est d’établir un centre de formation permanent, sur place, afin de participer activement à la formation de la future main-d’œuvre dans la région. « Le Cégep de Drummondville, en collaboration avec le Cégep de Victoriaville et la Ville de Bécancour, se réjouit d’assumer un rôle de leader en offrant conjointement de la formation collégiale en présence à Bécancour et d’ainsi continuer à contribuer au développement du Centre-du-Québec. », explique Pierre Leblanc, directeur général du Cégep de Drummondville. Des programmes sur mesure Avec l’aide des partenaires locaux, dont la Ville de Bécancour, les services de formation continue des cégeps de Drummondville et de Victoriaville visent à offrir de toutes nouvelles attestations d’études collégiales (AEC). Ces nouveaux programmes, actuellement à l’étude et développés en adéquation avec les besoins des entreprises du secteur industriel, incluent des spécialisations en instrumentation, automatisation et contrôle, ainsi qu’en analyse chimique du lithium. Cette nouvelle offre de formation à Bécancour s’étoffera au fil du temps, avec comme objectif de développer des programmes à vocation plus générale. Les expertises combinées des deux collèges les positionnent avantageusement dans les domaines de la recherche, de l’innovation et du transfert technologique, ainsi que dans le virage 4.0 pour le secteur manufacturier. Ces expertises sont d’ailleurs soutenues par la présence d’Inovem et du Centre intégré de formation et d’innovation technologique (CIFIT) à Victoriaville et du Centre national intégré du manufacturier intelligent (CNIMI) à Drummondville. « Avec la mutualisation de nos compétences reconnues dans une foule de domaines, nous sommes très heureux de pouvoir soutenir, sur place, autant les entreprises de la nouvelle Filière Batteries que l’ensemble des institutions, commerces et industries déjà bien implantés dans la région de Bécancour pour leurs besoins de formation initiale et de perfectionnement », souligne Denis Deschamps, directeur général du Cégep de Victoriaville. Une collectivité en croissance En développant le secteur industriel, on fait aussi croître la communauté. Les deux institutions collégiales sont aussi prêtes à répondre aux besoins de formation d’une population qui grandit, notamment par leurs programmes d’AEC Techniques d’éducation à l’enfance, Agent en support à la gestion des ressources humaines, Soutien administratif et bureautique, Développement et mobilisation des communautés locales, et plus encore. Les centres de services scolaires, les cégeps de Shawinigan, de Trois-Rivières ainsi que l’UQTR participeront également à l’élaboration de l’offre selon leurs expertises respectives.   « L’ajout d’une offre de cours des cégeps de Victoriaville et Drummondville à Bécancour est une excellente nouvelle pour notre communauté et c’est une grande fierté pour la Ville de faire partie prenante de ce projet innovant. Je salue l’agilité et la souplesse de ces deux institutions scolaires qui ajustent leur offre aux besoins grandissants de notre territoire, et ce, autant pour les entreprises actuelles que celles à venir », exprime la mairesse de Bécancour, Mme Lucie Allard. L’implication des deux cégeps dans les travaux du comité d’action sur la main-d’œuvre contribue d’ailleurs à trouver des solutions concrètes permettant de répondre à la pénurie dans la région. Comme tout nouveau projet de cette importance, le développement de la Filière Batteries a un impact considérable sur la disponibilité des locaux dans la ville. Dans le but de rapidement pouvoir offrir ses premières formations, les deux institutions et la ville de Bécancour travaillent activement à la recherche d’espaces adaptés dans la municipalité et ses environs. Plusieurs options sont étudiées et d’autres annonces viendront en 2023.
  • Mise sur pied d'un plan pour faciliter l'accès à l'habitation pour la population de Granby

    3 mai 2022 Mme Julie Bourdon, mairesse de Granby, travaille actuellement avec un comité à l’élaboration d’un plan d’habitation pour venir en aide aux personnes ayant besoin d’aide à se loger. Alors que le 1er juillet approche à grands pas, la pénurie de logements vient compliquer les démarches de bien des gens. Le conseil municipal est très conscient des enjeux reliés à cette pénurie. Par ailleurs, l’Office d’habitation Haute-Yamaska Rouville (OHHYR) procédera à l’embauche d’une ressource afin que celle-ci puisse agir comme agent de liaison entre les citoyennes et les citoyens, les promoteurs et les propriétaires d’immeubles. La Ville assumera les coûts liés à l’embauche de cette ressource jusqu’à ce que la subvention du programme Service d’aide à la recherche de logement (SARL) soit disponible. Pour répondre adéquatement aux enjeux liés à la pénurie de logements, un comité d’urgence a été créé. Ce dernier est composé de Mme Julie Bourdon, mairesse de Granby, de Mme Geneviève Rheault et M. Robert Riel, conseillers municipaux, de M. Guy Mongeau, directeur général de l’OHHYR, de M. Éric Goudreau, conseiller au développement social à la Ville de Granby et de M. Michel Pinault, directeur général de la Ville de Granby. Logement abordable Dans le contexte actuel où le taux de logements vacants est très bas, la Ville de Granby s’est donné comme objectif d’augmenter l’offre en logements abordables, en particulier pour le logement locatif pour les familles. Le conseil municipal est donc fier d’appuyer deux projets qui permettront d’atteindre cet objectif. Lors de la séance du conseil du 2 mai dernier, le conseil a ainsi confirmé l’intention de la Ville de céder un terrain situé au 80, rue Simonds Sud à l’OHHYR pour y aménager un projet pouvant compter jusqu’à 90 unités de logements sociaux et abordables. La cession de ce terrain représente une contribution de la Ville de 1,3 M$. Les membres du conseil ont également réitéré leur appui au projet de la Coopérative de solidarité Holocie sur la rue Saint-Georges, lequel permettra la construction de 28 logements abordables, dont deux pouvant être qualifiés de bigénérationnel. La participation financière de la Ville est estimée à 1 372 926 $. Ce projet s’inscrit désormais dans le nouveau Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ) annoncé en février dernier par le gouvernement du Québec. Des mini-maisons à Granby Une nouvelle mesure innovante est également mise sur pied pour contribuer à contrer le problème d’accès au logement. En effet, il sera dorénavant possible de construire une « unité d’habitation accessoire » dans la cour arrière et latérale d’une habitation principale. Cette façon de penser l’organisation urbaine contribue notamment à l’atteinte des objectifs de révision de l’espace à l’intérieur du périmètre d’urbanisation. « La pénurie de logements est une réalité cruelle pour trop de gens, et toutes les initiatives nous permettant de venir en aide à celles et à ceux qui sont touchés par ce problème d’accès au logement doivent être envisagées », a déclaré Mme Julie Bourdon.
  • Une œuvre d’art créée en collaboration avec la communauté ukrainienne

    La Ville s’enrichit d’une œuvre de l’artiste Giorgia Volpe, réalisée en collaboration avec la communauté ukrainienne de l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie. Venez admirer « Entrelacs » au parc de l’Ukraine, à l’angle de la rue de Bellechasse et de la 12e Avenue. Inspirée des œufs traditionnels ukrainiens Giorgia Volpe a travaillé en étroite collaboration avec la communauté ukrainienne, qui est implantée dans le quartier Rosemont depuis le 19e siècle. « Entrelacs » est située devant la cathédrale orthodoxe ukrainienne Sainte-Sophie. Inspirée de la forme des « pysanky », œufs traditionnels ukrainiens, l’œuvre est constituée d’un entrelacement de rubans déployés tel un tissage. Par sa forme dynamique, elle transforme le point de vue des visiteurs selon leur emplacement.
  • Land Back – la Biennale d’art contemporain autochtone en exclusivité à Québec

    Québec, le 4 mai 2022 – La Ville de Québec invite les citoyens à découvrir l’exposition intitulée Land Back, produite par la Biennale d’art contemporain autochtone (BACA). Cette sixième présentation de la Biennale se déploie dans huit lieux à travers la province, dont un seul à Québec : la Maison des Jésuites de Sillery. L’exposition accueille les œuvres des artistes autochtones Carey Newman, Jacob Meders, Roxanne Charles-George, Pat Kane et Lisa Jackson. Le commissaire, M. Michael Patten, a participé à de nombreuses expositions individuelles et collectives à l’échelle nationale et internationale, en tant qu’artiste et administrateur. Retour à la terre Le rapport à la terre et le déracinement font partie intégrante de l’exposition. Depuis des siècles, les peuples autochtones ont préservé la biodiversité, malgré la croissance continue de la population humaine. Si Land Back se veut un appel à l’action, un retour d’équité sur un territoire dérobé, il permet aussi de s’ouvrir à un certain questionnement. Comment pouvons-nous protéger au mieux la biodiversité, les terres et les eaux? Le savoir autochtone est ancré dans la durabilité, la conservation et la réciprocité avec la terre. Comment ce savoir est-il partagé, célébré et exprimé dans les pratiques artistiques actuelles? Gratuite pour tous, l’exposition est présentée à la Maison des Jésuites de Sillery, située au 2320, chemin du Foulon. Elle est ouverte aux visiteurs du mercredi au dimanche, de 13 h à 17 h, du 4 mai au 20 novembre 2022. En période estivale, l’ouverture sera prolongée du mardi au dimanche, de 11 h à 17 h.
  • L’image de marque « Rouyn-Noranda Douce Rebelle » finaliste au concours des Plumes d’excellence de l’ACMQ

    La Ville de Rouyn-Noranda est fière d’être finaliste au concours des Plumes d’excellence 2022 organisé par l’Association des communicateurs municipaux du Québec (ACMQ). Elle se qualifie dans la catégorie « Identité visuelle ou culturelle » pour le projet : Image de marque Rouyn-Noranda Douce Rebelle aux côtés des villes de Matane et de Rimouski. Parmi 96 projets soumis cette année au concours des Plumes d’excellence, la Ville s’est qualifiée aux côtés de 36 finalistes toutes catégories confondues. La sélection a été faite par un jury composé de quatre membres, sous la présidence de M. Louis Latraverse pour 2e année consécutive. Quatre grands critères ont été évalués soit : la stratégie de communication, la qualité et l’originalité conceptuelle, la qualité artistique et la force des résultats. « Cette nomination est accueillie avec bonheur alors que Rouyn-Noranda Douce Rebelle est le fruit d’un long travail visant à doter notre territoire d’une image de marque distinctive qui met de l’avant le caractère audacieux, fonceur et accueillant de la communauté rouynorandienne », partage la mairesse, Mme Diane Dallaire. Les lauréats seront dévoilés lors du Gala des Plumes d’excellence le jeudi 2 juin, à Trois-Rivières, dans le cadre du 43e colloque de l’ACMQ. La Ville pourrait aussi repartir avec d’autres prix, tels que la Plume Innovation, la Plume Coup de cœur ou encore la Grande Plume décernée à la réalisation qui s’est le plus démarquée parmi toutes les Plumes d’excellence.
  • En famille, Rouyn-Noranda c’est loin… d’être plate!

    La Ville de Rouyn-Noranda lance une campagne visant le tourisme culturel auprès des jeunes familles. Que ce soit pour un court ou long séjour, à Rouyn-Noranda la culture c’est un vrai jeu d’enfant! Elle est amusante, partout et accessible tout au long de l’année. Cette campagne diffusée sur les médias sociaux nous dévoile deux vidéos où l’on suit une jeune famille qui explore le côté culturel de Rouyn-Noranda en deux journées bien remplies. La première vidéo est déjà disponible et la seconde sera lancée dans les prochains jours. Un lien vers une page web hébergée sur le site de Tourisme Rouyn-Noranda permet de constater les nombreux exemples d’expériences culturelles adaptées aux familles. Pour agrémenter le séjour des familles qui viendront visiter Rouyn-Noranda cet été, un rallye culturel créé à partir d’œuvres d’art public est proposé. Ce rallye est accessible à tous, mais les familles venant de l’extérieur de Rouyn-Noranda qui le termineront auront droit à une quadruple récompense. La Ville remercie d’ailleurs les partenaires de ce rallye : le Glass bar laitier, le Musée d'art et le Magasin général Dumulon. Cette campagne est réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Rouyn-Noranda dans le cadre de l’Entente de développement culturel ainsi qu’à une collaboration avec le Centre local de développement Rouyn-Noranda (CLD RN). La signature de la campagne a été créée par Stéphanie Cloutier et les vidéos réalisés par Étienne Jacques.
  • Politique de soutien aux organismes : 42 projets soutenus

    Lors de la séance publique du conseil municipal du 30 mai dernier, la Ville de Rouyn-Noranda octroyait une aide financière à 42 projets dans le cadre des programmes financiers de la Politique de soutien aux organismes (PSO). Au total, c’est un montant de 188 391 $ qui sera remis à des organismes du milieu urbain et rural. Plusieurs projets de qualité ont été déposés dans les trois programmes suivants : achat d’équipements; projets d’aménagement et événements locaux. Les organismes ont démontré leur résilience et leur désir de reprendre des activités innovantes après deux années de pandémie. « En tant qu’élu municipal, il est très stimulant de constater la reprise des activités et la mobilisation des organismes après cette période pandémique. L’ensemble des quartiers a proposé des projets novateurs qui favorisent le maintien et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens. La Ville de Rouyn-Noranda accorde une place importante aux organismes puisqu'ils participent activement au développement d'une offre de services en sport, en loisir, en plein air, en culture et en développement des communautés », déclare Mme Samuelle Ramsay-Houle, présidente du comité de soutien aux organismes et conseillère municipale. Les organismes sont invités à cogiter leur prochain projet à mettre en place en vue de l’appel de projets qui sera lancé le 15 septembre et dont la date limite de dépôt sera le 31 octobre prochain.
  • Regard vers l’international pour la MRC de Témiscamingue

    Ville-Marie, le 17 mars 2022 Lors de la séance de conseil du 16 mars, les élus de la MRC ont porté leur regard sur l’international, par la préparation d’une mission exploratoire du côté de la France et avec un appui au peuple ukrainien, dans un mouvement initié par la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Après une pause forcée liée à la pandémie, le programme de coopération Prospective stratégique territoriale, liant la MRC aux territoires français d’Erdre et Gesvres ainsi qu’au Sud Lozère, est à nouveau actif et le comité a repris les travaux afin d’orchestrer la venue du Témiscamingue en sol français. Prévue du 2 au 13 mai 2022, cette mission exploratoire vise à s’inspirer quant au renouvellement de la stratégie d’attractivité territoriale, ainsi qu’au niveau des méthodes d’anticipation stratégique. Cette mission fait suite au passage de la délégation française au Témiscamingue, qui avait eu lieu en octobre 2019. Ainsi, une cohorte composée d’élus et de représentants de différentes sphères d’activité du territoire, soit une douzaine de personnes, formeront la délégation témiscamienne. Face à la situation internationale actuelle, la MRC ainsi que les municipalités membres de la fédération ont répondu à l’appel de la FQM afin de poser un geste de solidarité envers le peuple ukrainien en adoptant une résolution d’urgence. Cette résolution condamne avec fermeté l’invasion de l’Ukraine par la Russie et permet à la MRC de joindre sa voix au concert des nations pour appeler la Russie à mettre fin à son agression en retirant toutes ses forces de l’Ukraine et en réglant ses différents par la voie de la diplomatie. L’adoption de cette résolution envoie du même coup un signal clair au gouvernement du Canada de prendre toutes les mesures nécessaires pour amener la Russie à abandonner la guerre qui sévit actuellement. La MRC emboite donc le pas, comme d’autres localités du territoire, afin de participer à l’effort de solidarité envers le peuple ukrainien. « Une voix seule peut porter son message, mais c’est à travers l’ensemble de nos voix réunies que nous pourrons réellement influencer le cours des évènements dans le conflit russo-ukrainien actuel. Il n’y a pas de trop petit message, il y a un message solidaire, uni et puissant qui résonne haut et fort pour l’Ukraine et pour sa population! », a exprimé la préfète de la MRC, Claire Bolduc. Autres faits saillants o Prise de position ferme pour des soins de santé et des services adéquats pour les aînés du Témiscamingue; o Autorisation de procéder à l’embauche d’un agent de développement numérique, qui accompagnera le milieu quant aux possibilités qu’offre maintenant le déploiement numérique sur le territoire; o Autorisation du lancement de l’appel d’offre pour la mise en place d’un nouveau système efficient en communication incendie; o Adhésion de la MRC comme membre de la nouvelle coopérative Tricentris, avec qui elle faisait déjà affaire au niveau des matières recyclables; o Nomination de Sami Bdiri à titre de greffier et trésorier adjoint au sein de la MRC. La prochaine séance du conseil aura lieu le 20 avril 2022. - 30 -
  • Des véhicules hybrides et électriques pour la Ville de Granby

    21 février 2022 De 2022 à 2024, la Ville de Granby fera l’achat de sept nouveaux véhicules, dont cinq voitures hybrides, deux véhicules électriques et une fourgonnette afin de remplacer des véhicules ayant atteint leur fin de vie utile. La dépense totale s’élève approximativement à 425 000 $, taxes incluses, et l’acquisition s’effectuera par l’intermédiaire du regroupement d’achats du Centre d’acquisitions gouvernementales (CAG). Le montant proviendra directement du fonds des dépenses en immobilisations. Répartition des nouveaux véhicules Le Service de police recevra trois Ford Explorer hybrides, un Ford Transit entièrement électrique et un Kia Niro hybride. La bibliothèque, quant à elle, recevra un Ford Transit entièrement électrique, tandis que la Division des bâtiments aura un Dodge Ram ProMaster. « Le remplacement de certains véhicules de la flotte municipal était prévu au budget de la Ville, et l’approche selon laquelle on privilégie l’achat de voitures hybrides ou électriques est une nouveauté à Granby. Elle s’inscrit parfaitement dans notre volonté d’adhérer aux bonnes pratiques en matière de protection de l’environnement », a laissé savoir la mairesse de Granby, madame Julie Bourdon.
  • APPEL DE PROJETS- PROGRAMME D'INNOVATION CULTURELLE ET NUMÉRIQUE (PICN) 2022 (22-001)

    2/16/2022 Le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges est fier de lancer aujourd'hui l'édition 2022 du Programme d'innovation culturelle et numérique (PICN), afin de faciliter l’émergence de projets culturels innovants sur le territoire de la MRC de Vaudreuil-Soulanges. En 2021, le CACVS a fusionné les programmes d’Innovation Culturelle (PIC) et d’Innovation Numérique (PIN), afin que les projets culturels innovants soient tous considérés admissibles, que ceux-ci proposent une approche traditionnelle ou une approche numérique. ​​Le PICN vise à permettre aux porteurs de dossiers d’aborder les possibilités d’innovation en matière sociale, environnementale et économique au sein des communautés, en utilisant la culture comme outil de changement positif, afin de nous aider à assurer un avenir solide et dynamique pour la région de Vaudreuil-Soulanges, à commencer par une relance durable du secteur culturel.
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  • Douce Rebelle en images: un outil d’attractivité et de fierté

    Jeudi, 20 janvier 2022 La Ville de Rouyn-Noranda est extrêmement fière de présenter sa nouvelle bande-annonce en lien avec l’image Douce Rebelle. En juin dernier, un teaser avait été présenté lors du dévoilement de l’image de marque afin de présenter un avant-goût du produit final. Quelques mois plus tard, la Ville présente un produit dynamique empreint d’émotions qui permet de concrétiser l’identité de Rouyn-Noranda. La musique évolutive au fil des images authentiques et éclatantes démontre bien la dualité entre le « douce » et le « rebelle ». « Cette vidéo promotionnelle met en évidence la beauté naturelle de notre territoire, autant en milieu urbain qu’en milieu rural, mais par-dessus tout elle démontre la chaleur humaine des citoyennes et citoyens de Rouyn-Noranda de toutes les générations et de tous les horizons. Soyons fiers de notre identité, notre authenticité et notre originalité. Soyons Douce Rebelle! », exprime la mairesse suppléante et conseillère du district Évain, Mme Samuelle Ramsay-Houle. Cette bande-annonce servira à la Ville de Rouyn-Noranda, mais également aux organismes qui réalisent des activités d’attractivité ou de recrutement ainsi qu’aux employeurs et institutions d’enseignement afin de faire découvrir Rouyn-Noranda. « C’était important d’offrir un produit qui pourrait être utilisé par nos partenaires. Un autre objectif était également que les citoyennes et citoyens puissent la partager facilement et montrer au monde entier leur fierté. Une minute quarante-cinq pour convaincre tout futur Rouynorandien que sa place est ici, à Rouyn-Noranda », termine Mme Samuelle Ramsay-Houle. La vidéo a été réalisée par Productions 3 Tiers, en collaboration avec CC. Consultants. La musique est une création originale d’Uberko, à laquelle Christian Poulin a ajouté des percussions. Les figurants ont accepté gracieusement de participer au projet. Pour visionner la bande-annonce :
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  • Politique de soutien aux organismes : 71 projets soutenus

    Mercredi, 12 janvier 2022 Lors de la séance publique du conseil municipal du 10 janvier dernier, la Ville de Rouyn-Noranda octroyait une aide financière à 71 projets dans le cadre des programmes financiers de la Politique de soutien aux organismes (PSO). Au total, c’est un montant de 837 187 $ qui sera remis à des organismes du milieu urbain et rural. Les projets soutenus sont variés et en complémentarité avec les orientations municipales, que ce soit l’achat d’équipements; des projets d’aménagement; la création, la production et la diffusion culturelles et artistiques; les événements locaux et les grands événements; le soutien communautaire. Dans le contexte pandémique actuel, les organismes ont déposé des projets créatifs et novateurs qui répondent aux besoins actuels. « Le conseil municipal reconnait l’apport significatif des différents organismes sur le territoire de Rouyn-Noranda et souhaite les appuyer financièrement dans leurs différents projets. Que ce soit dans le domaine des sports, du loisir, de la culture, des arts, des événements ou de la vie communautaire, les projets sélectionnés par la PSO permettent le maintien et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens et favorisent un milieu de vie effervescent et dynamique » déclare Mme Samuelle Ramsay-Houle, présidente du Comité de soutien aux organismes et conseillère municipale. Les organismes sont invités à préparer leur demande en vue du deuxième appel de projets dont le lancement se fera le 15 février et dont la date limite de dépôt sera le 31 mars prochain. Cliquez ci-bas pour consulter la liste des projets soutenus.
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  • Granby offre un congé d'intérêts concernant les taxes foncières

    24 janvier 2022 Lors de sa dernière séance, le conseil municipal a adopté un projet de règlement visant à donner un congé d’intérêts à l’ensemble de la population sur les deux premiers versements des taxes foncières. Ainsi, entre le 28 février et le 27 juin 2022 inclusivement, tout retard concernant les paiements suivants n’entraînera aucun intérêt : Les deux premiers versements de taxes foncières; Les compensations annuelles (eau, égout, etc.); Les compensations pour les services municipaux; Les comptes complémentaires de taxes foncières venant à échéance au cours de cette période. Cette décision est motivée par la volonté d’aider les commerçants et la population en général à surmonter la 5e vague de la pandémie de COVID-19. Le conseil souhaite ainsi contribuer à atténuer le stress qui accompagne l’ensemble des mesures visant à combattre la pandémie. Cette mesure ne s’appliquera pas aux autres sommes dues à la Ville : droit de mutation, compensation au compteur, facturation diverse, etc.
  • VIVRE EN GASPÉSIE | Solde migratoire record pour la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

    SOLDE MIGRATOIRE 2020-2021 POSITIF La région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine fracasse un autre record! Maria, le 13 janvier 2022 — Les récentes données de l’Institut de la Statistique du Québec (ISQ) sont réjouissantes pour la région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. En plus d’enregistrer son meilleur résultat à ce jour, la région est la seule dite éloignée à présenter un solde migratoire interrégional positif pour une cinquième année consécutive. « Nous étions confiants à l’idée que la région enregistre un autre bilan migratoire positif, mais cette nouvelle est époustouflante. Ces données sont le reflet de nos constats sur le terrain et de l’indéniable engouement pour le mode de vie gaspésien qui persiste avec les années. », affirme Danik O’Connor, directeur de la Stratégie régionale Vivre en Gaspésie, qui travaille ardemment à attirer de nouvelles personnes, mais aussi à favoriser leur intégration. Pour l’année 2020-2021, la région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine a attiré 2 907 nouvelles personnes, portant son solde migratoire interrégional à 1 378 personnes, soit son meilleur résultat depuis la compilation des données par l’ISQ. Toutes proportions gardées, la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine se classe au 4e rang de toutes les régions du Québec quant à l’ampleur des gains, juste derrière les régions des Laurentides, de l’Estrie et de Lanaudière. L’ISQ estime que la population de la région aura augmenté de manière significative en 2020-2021, passant de 90 721 à 92 072 habitants : « la population a augmenté pour une deuxième année consécutive et la croissance s’y est accélérée de manière particulièrement notable pour atteindre un rythme supérieur à celui de la plupart des autres régions du Québec », mentionne le récent rapport de l’ISQ. Selon Mathieu Lapointe, président du Regroupement des MRC de la Gaspésie, ces récentes statistiques sont la preuve que les efforts déployés pour renverser la tendance démographique mènent à des résultats concrets : « En 2017, la région s’est concertée et a choisi de s’attaquer à l’enjeu de la démographie en priorité. C’est à partir de ce moment que les décideurs ont appuyé la Stratégie Vivre en Gaspésie dans la concrétisation de son plan d’action, et les données démographiques subséquentes nous prouvent que ce choix était et continue d’être judicieux ». Le dernier bilan migratoire confirme que la région a non seulement été attractive, mais aussi qu’elle a gardé sa population sur son territoire. « Il y a à peine vingt ans, on perdait environ 1 200 habitants par année au profit des autres régions. C’est l’équivalent d’un village qui fermait chaque année », explique M. O’Connor. À ce sujet, Vivre en Gaspésie est fière de constater que son travail acharné porte fruit et que ses actions en intégration, en partenariat avec les Places aux jeunes et les Services d’accueil des nouveaux arrivants du territoire, donnent les résultats escomptés. Des gains pour chacun des territoires gaspésiens Le portrait présenté par l’ISQ montre que l’ensemble des MRC de la Gaspésie présentent un solde migratoire interrégional positif et qu’elles ont fait des gains de population, alors que plus de 200 personnes se sont installées dans chacun de ces territoires en 2020-2021. « Il s’agit d’une excellente nouvelle pour nos différents milieux de vie qui investissent beaucoup d’énergie pour attirer de nouveaux arrivants et pour garder leur population actuelle », confie M. Lapointe. L’effet de la pandémie Dans son portait, l’ISQ présente quelques facteurs pouvant expliquer l’attrait des régions comme celle de la Gaspésie, dont l’accélération du déploiement du télétravail en raison de la pandémie. Bien que l’attrait de la Gaspésie pour la population québécoise était présent avant la pandémie, le contexte semble avoir remis en perspectives plusieurs éléments, dont la volonté de revenir à l’essentiel et l’urgence de vivre. Selon M. O’Connor, « c’est exactement ce que la Gaspésie propose avec ses connexions humaines, son authenticité et son immense territoire naturel. Ce n’est pas surprenant d’assister à cet engouement inégalé et à l’accélération de projets de migration dans la dernière année ». Rappelons que la région est classée en tête de liste selon l’indice du bonheur léger comme étant la région la plus heureuse du Québec. À propos Vivre en Gaspésie est portée par une cinquantaine d’organisations partenaires. Cette stratégie régionale vise à contribuer à la croissance démographique et à l’occupation dynamique des territoires de la Gaspésie. Concrètement, ses actions s’articulent autour de trois axes : la valorisation de la région auprès de la population, l’attraction de nouvelles personnes et l’intégration des nouveaux arrivants.