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La Ville de Waterloo participera à une étude du potentiel de transposition de la Norme BNQ 21000 aux villes et aux municipalités pour la gestion du développement durable.
Waterloo, Québec — 19 janvier 2022 En 2022, la Ville de Waterloo se prêtera à un projet de recherche dans le cadre d’un stage postdoctoral, réalisé à l’École de gestion de l’Université de Sherbrooke, en collaboration avec deux autres villes soit, Contrecœur et Varennes.
Le but visé par cette étude est de s’interroger sur la transposition et l’emploi de la norme BNQ 21000 au sein des villes et municipalités du Québec. L’approche de ladite norme vise elle-même à guider et outiller les organisations selon les principes de développement durable dans toutes les sphères, stratégies et pratiques de gestion. D’abord, une première démarche visera à s’approprier la littérature et à explorer la faisabilité de la transposition. Celle-ci sera réalisée grâce à l’accompagnement de la postdoctorante Mme Corine Coho qui analysera entre autres, les différentes initiatives sur le plan international et veillera à l’arrimage avec les villes partenaires.
La ville travaillera également avec plusieurs autres intervenants du développement durable, dont le professeur M. Thomas Mulcair de l’Université de Montréal, également auteur de la Loi québécoise de développement durable, la professeure Marie-Luc Arpin et le professeur Jean Cadieux de l’École de gestion de l’Université de Sherbrooke. « Le concept de développement durable est devenu un pilier quand on parle du futur de notre municipalité. Notre participation à ce projet nous permettra de structurer et d’aligner notre vision de développement territorial, économique, sociale et culturelle, tout en tenant compte de l’environnement.
Nous croyons que cela peut être profitable pour nous assurer un milieu de vie dynamique, fort, résilient et durable. » — Jean-Marie Lachapelle, maire. Concrètement, la démarche permettra à la ville de définir son cadre de gestion selon ses propres enjeux, en s’assurant de les mettre en relation avec les différentes politiques et plans, comme le plan de gestion des eaux, le plan d’urbanisme, le plan de revitalisation du centre-ville, la politique culturelle et la politique familiale, tout en les alignant avec les objectifs de développement durable de l’ONU pour faciliter et soutenir un virage conséquent vers l’avenir. « La Norme BNQ21000 permet aux entreprises d’intégrer le Développement durable dans sa gestion.
Lorsqu’on regarde de plus près les objectifs de développement durable de l’ONU, l’étude de la transposition de ce référentiel aux villes et municipalités est une suite logique. M. Lachapelle, Maire de Waterloo, dont les valeurs sont alignées sur le développement durable, a bien voulu participer avec son équipe et deux autres villes à l’avancement des connaissances. Ainsi, Waterloo sera à la fine pointe de la réflexion sur la société durable de demain. Merci pour votre participation. » - Pr. Jean Cadieux, Chercheur et résident de Waterloo.
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L’Université de Sherbrooke parmi les plus influentes en recherche au pays
Pour une 4e année de suite, l’Université de Sherbrooke figure parmi les 15 plus grandes universités de recherche au Canada, selon le palmarès Canada’s Top 50 Research Universities, un signe de croissance qui ne trompe pas.
Dévoilés le 18 janvier par la firme Research Infosource, les résultats se basent sur les revenus de recherche obtenus pendant la période de 2020-2021. Pour l’UdeS, ceux-ci se chiffrent à 207,3 M$, une augmentation par rapport à l’année précédente.
Les revenus de recherche désignent l’argent qu’une université reçoit en vue de soutenir ses activités de recherche : bourses aux chercheuses et chercheurs, subventions de recherche et contrats attribués par des entreprises privées ou par des organismes gouvernementaux ou à but non lucratif.
Lorsqu’une université voit ses revenus de recherche augmenter, on peut y voir une marque de confiance de la part des entités subventionnaires, qui considèrent l’institution comme une solide alliée en innovation et en résolution de problèmes sociétaux.
La recherche à l'UdeS se veut audacieuse, innovante et concrète. La recherche à l'UdeS se veut audacieuse, innovante et concrète.
Photo : Michel Caron - UdeS Traitement de la maladie de Lyme, développement de matériaux plus verts, surveillance des forêts et des plans d’eau, prévention de la désinformation, diagnostic précoce du cancer, optimisation du réseau d’électricité, et plus encore : les projets de l’UdeS émergent d’une volonté de répondre à des besoins précis de la société.
Selon le vice-recteur à la recherche et aux études supérieures, le professeur Jean-Pierre Perreault, cet élan n’est pas près de s’essouffler :
Professeur Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l'UdeS. Professeur Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l'UdeS.
Photo : Michel Caron - UdeS Depuis 4 ans, coup sur coup, l’UdeS maintient sa position enviable parmi les 15 plus grandes universités de recherche canadiennes. Ces résultats sont sans précédent pour nous et dénotent clairement que nous sommes sur une lancée. Et tout est en place pour poursuivre notre ascension.
Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures
Rappelons que l’an dernier, l’UdeS s’est brillamment démarquée dans ce palmarès en décrochant notamment la 1re place dans une catégorie inédite portant sur la croissance des revenus de recherche sur une période de 20 ans.
Recherche partenariale : un ancrage solide pour poursuivre l’ascension La recherche partenariale, qui permet de jeter des ponts entre les laboratoires et l'industrie, est une force vive à l'UdeS. La recherche partenariale, qui permet de jeter des ponts entre les laboratoires et l'industrie, est une force vive à l'UdeS.
Photo : UdeS En plus d’être reconnue pour ses activités de recherche concrètes dans divers domaines, l’UdeS se démarque par sa volonté d'aider les organisations à innover, que ce soit les organismes à but non lucratif, les PME, les municipalités ou les grandes entreprises. De nombreux projets de recherche bâtis sur mesure découlent de ces partenariats, lesquels contribuent grandement à cette position enviable qu’occupe l’UdeS dans le Top 50.
Pour le recteur, le professeur Pierre Cossette, cette structure axée sur le partenariat est une véritable carte maîtresse : « Nous avons un écosystème qui permet de jeter facilement des ponts entre les laboratoires et l’industrie, ce qui augmente notre capacité à générer des connaissances transférables et à les mettre au service du bien commun. Cette particularité facilite aussi l’obtention de financements de recherche, d’où notre croissance constante au cours des dernières années. »
L’UdeS est satisfaite d’arriver 15e au Canada’s Top 50 cette année, d’autant plus qu’elle sait déjà que sa progression se poursuivra dès l’an prochain.
La recherche à l’UdeS, en bref :
- Une communauté de recherche de plus de 6000 personnes
- 6 créneaux d’excellence favorisant la recherche interdisciplinaire
- 22 centres de recherche
- 88 chaires de recherche
- 2 laboratoires de recherche internationaux du CNRS, LN2 et un IRL
- 6 instituts de recherche
- Un milieu incomparable de formation à la relève scientifique
- Une vingtaine de plateformes de recherche
- Une structure d’appui favorisant le transfert technologique
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6,5 M$ de Québec pour l’organisme sherbrookois Espace-inc
L’accélérateur d’entrepreneurs sherbrookois Espace-inc reçoit une subvention gouvernementale de 6,5 M$ de la part de Québec dans le cadre du Plan québécois en entrepreneuriat 2022-2025. Cette somme, qui représente un peu plus de 10 % de l’enveloppe totale réservée à l’axe 2 du plan, permettra à Espace-inc de continuer à se développer ailleurs en province. L’aide reçue par l’organisme sherbrookois provient de l’axe 2 du Plan québécois en entrepreneuriat 2022-205, axe qui prévoit essentiellement soutenir les accélérateurs d’innovation des écosystèmes régionaux ou bien offrir un financement adapté aux projets d’entreprises. Pour cet axe précis, le gouvernement dispose d’une enveloppe de 64,4 M$, ce qui veut donc dire qu’Espace-inc bénéficie d’un peu plus de 10 % de celle-ci.
« On va essentiellement pouvoir offrir plus de services aux entrepreneurs. On aura la capacité d’offrir plus de coaching à des entrepreneurs dans plus de régions. [...] On pourra se déployer dans différentes régions et rencontrer les acteurs de ces régions », explique la présidente fondatrice et cheffe de l’innovation d’Espace-inc, Chloé Legris.
« L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire », estime Joëlle Boutin. « L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire », estime Joëlle Boutin. LA TRIBUNE, ANTHONY OUELLET « L’accélération d’entrepreneurs, c’est un rôle que le gouvernement ne peut pas faire. Le gouvernement est un facilitateur et on doit compter sur des [organismes comme Espace-inc] qui travaillent dans les régions en collaboration avec les [espaces régionaux d’accélération et de croissance] », estime quant à elle la députée de Jean-Talon et adjointe parlementaire du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Joëlle Boutin.
Mme Boutin ajoute que « dans une perspective de revalorisation régionale, c’est hyper important » comme annonce, car les services d’Espace-inc pourraient, selon elle, aider les gens à se démarrer plus facilement une entreprise hors des grands centres.
Au total, en comptant les axes 1 et 2, Québec s’est doté d’une somme de 121,7 M$ pour son plan triennal en entrepreneuriat.
Esprit entrepreneurial Présent lors de la conférence de presse, le directeur général d’Entreprendre Sherbrooke, Charles-Olivier Mercier, indique que cette annonce s’inscrit dans la volonté sherbrookoise d’être une référence en entrepreneuriat, par exemple avec l’élaboration du QG de l’entrepreneuriat au centre-ville.
« Sherbrooke a fait le choix de mieux structurer ses dessertes des entrepreneurs [...], de maximiser leur accès à d’autres entrepreneurs, à des lieux de rencontres et de réseautage [...] via le QG. Ce dernier prend forme et la nouvelle d’aujourd’hui vient le rendre encore plus fort », souligne-t-il.
Pour le maire suppléant de Sherbrooke et conseiller municipal du district des Nations, Raïs Kibonge, cette subvention octroyée à Espace-inc pourra faire rayonner cette entreprise et Sherbrooke ailleurs au Québec, allant même jusqu’à qualifier ce qui se passe en ville d’« effervescence entrepreneuriale ».
Espace-inc a accompagné, depuis 2015, 250 entrepreneurs, selon les chiffres de l’organisme.
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Mon commerce en ligne : un programme pour accompagner les entrepreneurs dans le virage numérique
13 JANVIER 2023 La Ville de Saint-Jérôme et la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Jérôme métropolitain ont conjointement conclu un partenariat avec l’Association québécoise des technologies et l’École des entrepreneurs du Québec afin de propulser le programme Mon commerce en ligne auprès de la clientèle d’affaire de la région.
Mon commerce en ligne a pour but d’accompagner 5 000 commerces de détail du Québec dans l’adoption des technologies et des services numériques pour augmenter leurs ventes et leurs revenus, développer de nouveaux marchés et optimiser leurs opérations, en complément à leur commerce physique.
Plus précisément, le programme offre :
un outil de diagnostic numérique; un plan d’action personnalisé; des formations en ligne; de l’accompagnement individuel avec des spécialistes du numérique et des affaires, selon le forfait choisi. Le tout accessible sur une seule plateforme en ligne, et à des prix abordables, grâce à l’appui financier du gouvernement du Québec et du Canada. De plus, les membres Desjardins peuvent obtenir un code promotionnel leur donnant 50% de rabais sur les forfaits Accompagnement express et Accompagnement complet.
« La pandémie a frappé dur sur le commerce au détail, mais elle a aussi changé nos habitudes de consommation rapidement, faisant grimper la popularité du commerce en ligne en flèche. À Saint-Jérôme, nous souhaitons mettre toutes les ressources possibles à la disposition de nos entrepreneurs et commerçants afin qu’ils puissent prospérer encore longtemps. Grâce à l’appui financier de nos gouvernements, le programme Mon commerce en ligne est une véritable mine d’or pour tout entrepreneur qui souhaite être accompagné par des professionnels à moindre coût, afin de bâtir une stratégie d’affaires sur le Web », a déclaré Dominic Boyer, conseiller municipal de la Ville de Saint-Jérôme et président de la commission du développement économique et des finances.
« La Chambre de commerce est fière de s’associer à la Ville de Saint-Jérôme dans le cadre du programme Mon commerce en ligne. Alors que nos commerçants doivent sans cesse compétitionner avec les géants de l’internet et tirer leur épingle du jeu, ce programme leur vient en aide pour faciliter leur transition vers le numérique et établir les fondations d’une économie locale durable », a affirmé John Tittel, président de la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Jérôme Métropolitain.
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La Soirée Ès Arts honore cinq lauréats ayant contribué de façon exceptionnelle à la vitalité culturelle du Haut-Richelieu
23 janvier 2023//Communiqués de presse 2023 La ballerine Rose Trahan, l’auteure Valérie Fontaine, le rédacteur en chef Gilles Lévesque et le Groupe LeSieur et frère sont les lauréats de la 16e édition de la Soirée è Arts. Le gala animé par le Théâtre du Bahut qui s’est déroulé le 19 janvier 2023 au Cabaret-Théâtre du Vieux-Saint-Jean vise à reconnaitre l’apport exceptionnel de personnalités de la région à la vitalité culturelle du Haut-Richelieu. C’est Andrée Bouchard, mairesse de Saint-Jean-sur-Richelieu, qui a donné le coup d’envoi à la soirée, confirmant l’importance de la culture dans notre communauté.
Le PRIX RÉVÉLATION, associé à une bourse de 1 000 $ offerte par le Fonds Claude-Raymond a d’abord été remis à la danseuse professionnelle Rose Trahan, qui joignait récemment les rangs des Grands Ballets canadiens à titre d’apprentie. Ayant commencé à danser à l’âge de deux ans à l’école de Ballet Classique du Haut-Richelieu, elle a tenu le rôle principal de Clara dans le Casse-Noisette du Ballet Ouest de Montréal. De 2016 à 2019 elle a participé à plusieurs productions du Ballet classique Haut-Richelieu à titre de soliste invitée.
Le PRIX RAYONNEMENT a été remis par le journal Le Canada Français à Valérie Fontaine. Auteure jeunesse, madame Fontaine a publié à ce jour 45 livres. Son livre Thomas, prince professionnel lui a permis de remporter le Grand Prix du livre de la Montérégie et le Prix du meilleur album du Magazine Enfants Québec en 2012, en plus d’avoir été finaliste pour le Prix des libraires. Désirant rendre accessibles ses histoires et toucher le plus grand nombre d’enfants, elle présente des heures du conte sur sa page Facebook et offre des animations dans plusieurs écoles du Québec, de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick.
Le PRIX PARTENARIAT, remis par la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu, a été décerné au Groupe LeSieur et frère. Sensible au développement culturel de la région, son directeur général, Alain Paradis, ne manque pas une occasion d’engager l’entreprise auprès des organismes et diffuseurs. Partenaire de la SPEC du Haut-Richelieu à titre de présentateur de la série Cabaret jazz band LeSieur, de la Société de développement du Vieux-Saint-Jean pour Un Été Show et Mon Vieux Saint-Jean la nuit. L’entreprise met aussi en valeur depuis quelques années le travail créatif de l’auteure-compositrice-interprète Valérie Lahaie, qui est d’ailleurs leur porte-parole.
Le PRIX HOMMAGE, assorti d’une bourse de 1 000$, a été remis par Réal Ryan, préfet de la MRC du Haut-Richelieu à Gilles Lévesque. Celui-ci a été honoré pour son apport considérable au rayonnement et au développement des artistes de la région. Passionné de musique, le journaliste et rédacteur en chef du Canada Français depuis plus de 40 ans a fait en sorte que ce journal ait des pages culturelles de qualité. En octroyant à la culture de la région une place de choix dans le traitement de la nouvelle, Gilles Lévesque a favorisé la promotion de nombreuses organisations culturelles et les artistes de la région.
Les quatre lauréats ont eu le plaisir de recevoir une oeuvre créée par le sculpteur Daniel Granger. Les oeuvres de bois, finement sculptées, ont été soigneusement sélectionnées pour refléter la personnalité de chacun des gagnants.
Bon coup culturel Le Bon coup culturel ayant obtenu le plus de votes du public et du jury parmi les 9 projets finalistes, est La légende de l’oie mère. L’oeuvre d’art éphémère, créée par Pascale Hébert, a été inspirée de la pause des milliers d’oies blanches sur la rivière Richelieu durant leur migration. L’oeuvre, une installation formée de deux plumes géantes de métal découpé, était visible de la bande du canal, flottant et tournant sur elles-mêmes au gré du vent durant tout l’été et l’automne 2022. Madame Hébert, à la tête de l’atelier Métal en jupe, a reçu un chèque de 1 000$ lui ayant été remis par la Corporation du Fort St-Jean.
Le Homebrew Dixie Band a apporté une couleur musicale festive à la soirée. Le pianiste Gaétan Daigneault et l’auteur-compositeur Jeffrey Piton ont créé pour leur part des moments émouvants pour les lauréats, Valérie Fontaine et Gilles Lévesque auxquels étaient destinées leurs performances. Enfin, les spectateurs ont été éblouis par la prestation de Jean-Sébastien Couture, ancien danseur et premier soliste des Grands ballets canadien originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu. Sa performance rendait hommage à la gagnante du prix Révélation, Rose Trahan.
La Soirée Ès Arts est une oeuvre collective de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu, la SPEC du Haut-Richelieu, NexDev | Développement économique Haut-Richelieu, la Société de développement Vieux-Saint-Jean, les Carrefours culturels du Haut-Richelieu, le Comité culturel du Haut-Richelieu et la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu.
Le comité de la Soirée Ès Arts tient à remercier ses partenaires; la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu, la MRC du Haut-Richelieu, le Fonds Claude-Raymond, la Corporation du Fort Saint-Jean, le Canada Français, Desjardins, la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu, Louis Lemieux et Christine Normandin pour leur implication dans la réussite de cette soirée.
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Nomination de M. François Bélanger à titre de directeur général de la Ville de Saint-Eustache
(Saint-Eustache, le 27 janvier 2023) – Lors de la séance ordinaire du 16 janvier dernier, le conseil municipal de la Ville de Saint-Eustache a entériné la nomination de M. François Bélanger à titre de directeur général. Celui qui occupait jusqu’alors le poste de directeur général adjoint, module technique et environnement, succédera dès le 1er mars 2023 à M. Christian Bellemare, directeur général de la Ville depuis 2004.
François Bélanger a fait son entrée à la Ville de Saint-Eustache comme directeur du Service du génie, poste qu’il a occupé de 2003 à 2009. Grâce à son important bagage technique et à ses compétences démontrées en gestion municipale, M. Bélanger a été promu, en 2009, directeur général adjoint du module technique, chapeautant ainsi plusieurs services de la Ville. En 2020, il s’est aussi vu attribuer la responsabilité du Service de l’environnement, devenant ainsi directeur général adjoint, module technique et environnement.
« C’est avec grand bonheur que j’entre en poste comme directeur général de la Ville de Saint-Eustache et que je continuerai d’œuvrer pour la qualité de vie de mes concitoyens et concitoyennes. Je dispose d’une équipe chevronnée et engagée avec laquelle je suis fier de collaborer au quotidien, dans le plus grand des respects. Je tiens à remercier le maire, M. Pierre Charron, ainsi que les membres du conseil municipal, de m’accorder leur confiance et je veux saluer, avec grande amitié, le parcours de M. Bellemare, qui a été pour moi un réel mentor », indique le directeur général, M. François Bélanger.
Détenteur d’un baccalauréat en génie civil de l’Université d’Ottawa, François Bélanger cumule plus de 20 ans d’expérience dans le domaine municipal. Dans l’optique de se perfectionner et d’acquérir de nouvelles connaissances, M. Bélanger a complété avec succès un certificat en leadership et habiletés de gestion de l’Université Concordia (2018) et travaille actuellement à l’obtention d’une maîtrise en développement des organisations de l’Université Laval.
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Schéma d’aménagement et de développement
Saguenay 2035 est une démarche de participation citoyenne qui s’inscrit dans le cadre de la révision du schéma d’aménagement et de développement.
Un schéma d’aménagement et de développement (SAD), c’est quoi?
C’est un document officiel qui permet à la Ville de Saguenay de planifier et d’organiser le développement de son territoire. En d’autres mots, le SAD sert à faire ressortir une vision globale du développement culturel, économique, social et environnemental de Saguenay dans un esprit de développement durable.
Un SAD est un contrat d’engagement envers le gouvernement du Québec. Il aborde les grands enjeux actuels et à venir en matière de développement, dans le respect des orientations gouvernementales en aménagement du territoire (OGAT).
Le processus de révision du Schéma, quoi et pourquoi?
La Ville de Saguenay, qui joue un rôle de Ville-MRC, a l’obligation légale d’adopter un schéma d’aménagement et de développement et doit en faire la révision à tous les 5 ans. Ce processus est régi par la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme (LAU).
Le schéma présentement en vigueur date de 2011. Saguenay souhaite en faire la mise à jour en tenant compte des préoccupations des citoyens en ce qui a trait aux grands enjeux auxquels la Ville doit faire face. La révision du SAD permet ensuite de mettre à jour le plan d’urbanisme de la Ville selon les nouvelles préoccupations en matière d’occupation du territoire.
Le rapport final de consultation a été publié le 25 juin dernier.
Vision stratégique de développement adoptée en juillet 2019 par le conseil municipal
Saguenay 2035 | L’attractivité naturelle de la vitalité urbaine Au coeur d’un immense parc naturel, la métropole régionale de Saguenay rayonne par le dynamisme de sa population et la force de son économie. À titre de capitale boréale, Saguenay, avec sa créativité et son économie novatrice, poursuit son rôle de chef de file dans l’économie du savoir. Saguenay se développe de façon responsable et durable de par sa gestion cohérente avec son environnement et ses valeurs. La population de Saguenay participe et contribue à l’enrichissement du sentiment de fierté d’une collectivité toujours plus grande et diversifiée. La synergie entre ses milieux de vie renforce son caractère de ville exceptionnelle et recherchée.
Portée et effets de la révision
Schéma d'aménagement/développement
Lien d'engagement entre le gouvernement du Québec et la Ville de Saguenay. Détermination de la vision et des grandes orientations de Saguenay. Plan d'urbanisme
Outil de gestion et de planification du territoire. Divise le territoire en grandes zones selon ses caractéristiques. Règlements d'urbanisme
Règlements de zonage, de lotissement, de construction, etc. Ils établissent les grandes règles de l'occupation du territoire. La révision est un processus large qui demande l’implication de toutes les personnes concernées par le développement économique, social et environnemental de la Ville de Saguenay. La planification du territoire, c’est d’abord et avant tout une vision commune, rassembleuse et qui reflète les désirs et les besoins d’une communauté. C’est pourquoi la participation active des citoyens et des organisations provenant de différents domaines est essentielle à la réussite de ce grand exercice de révision.
Pour toute information supplémentaire concernant la révision du schéma d'aménagement et de développement, ou si vous aimeriez poser une question à l'équipe assignée à la gestion de ce projet, vous pouvez écrire à l'adresse saguenay2035@ville.saguenay.qc.ca.
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EMPLOIS D’ÉTÉ ÉTUDIANTS
Recrutement du 1er au 28 février 2023
Saguenay, le 1er février 2023 - La Ville de Saguenay renouvelle, pour 2023, l’image de sa campagne de recrutement pour les emplois étudiants. Pour la première capsule, des visuels colorés et ludiques rappelleront, par le maquillage, le domaine de l’emploi offert aux étudiants.
Pour la deuxième, minou postule pour un emploi à Saguenay, afin de se payer un arbre à chat. Encore cette année, les médias sociaux comme Tik Tok et Instagram seront mis au cœur de la stratégie. La campagne se tiendra du 1er au 28 février.
Des vidéos calquées sur un format connu de ces réseaux permettront de capter l’attention des jeunes et de leur faire valoir les opportunités d’emplois étudiants dans l’appareil municipal. Les candidatures doivent être soumises en ligne à l’adresse emploisetudiants.saguenay.ca. Cette méthode, qui vise à rejoindre les jeunes directement a connu du succès lors des deux dernières années.
La municipalité recherche, entre autres, du personnel pour ses camps de jours, des sauveteurs ou sauveteuses, des horticulteurs ou horticultrices ainsi que des étudiants ou étudiantes en techniques policières, génie civil et bien plus. Tous ces postes garantissent un emploi à temps plein pour la période estivale.
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PÔLE DE FORMATION COLLÉGIALE À BÉCANCOUR !
À la lumière de récentes annonces d’investissements dans le parc industriel de Bécancour et afin de répondre aux besoins de développement de compétences dans la région, les services de formation continue des cégeps de Drummondville et de Victoriaville, de concert avec la Ville de Bécancour, se mobilisent et conjuguent leurs expertises.
En tant que seules institutions collégiales autorisées à offrir de la formation continue créditée sur le territoire des MRC Bécancour et Nicolet-Yamaska, les trois organisations reconnaissent l’importance et l’ampleur des différents projets porteurs de la Filière Batteries qui viendront s’implanter sur le territoire de Bécancour et s’unissent pour répondre aux besoins de formation qui s’y rattachent.
L’objectif est d’établir un centre de formation permanent, sur place, afin de participer activement à la formation de la future main-d’œuvre dans la région. « Le Cégep de Drummondville, en collaboration avec le Cégep de Victoriaville et la Ville de Bécancour, se réjouit d’assumer un rôle de leader en offrant conjointement de la formation collégiale en présence à Bécancour et d’ainsi continuer à contribuer au développement du Centre-du-Québec. », explique Pierre Leblanc, directeur général du Cégep de Drummondville.
Des programmes sur mesure
Avec l’aide des partenaires locaux, dont la Ville de Bécancour, les services de formation continue des cégeps de Drummondville et de Victoriaville visent à offrir de toutes nouvelles attestations d’études collégiales (AEC). Ces nouveaux programmes, actuellement à l’étude et développés en adéquation avec les besoins des entreprises du secteur industriel, incluent des spécialisations en instrumentation, automatisation et contrôle, ainsi qu’en analyse chimique du lithium. Cette nouvelle offre de formation à Bécancour s’étoffera au fil du temps, avec comme objectif de développer des programmes à vocation plus générale.
Les expertises combinées des deux collèges les positionnent avantageusement dans les domaines de la recherche, de l’innovation et du transfert technologique, ainsi que dans le virage 4.0 pour le secteur manufacturier. Ces expertises sont d’ailleurs soutenues par la présence d’Inovem et du Centre intégré de formation et d’innovation technologique (CIFIT) à Victoriaville et du Centre national intégré du manufacturier intelligent (CNIMI) à Drummondville. « Avec la mutualisation de nos compétences reconnues dans une foule de domaines, nous sommes très heureux de pouvoir soutenir, sur place, autant les entreprises de la nouvelle Filière Batteries que l’ensemble des institutions, commerces et industries déjà bien implantés dans la région de Bécancour pour leurs besoins de formation initiale et de perfectionnement », souligne Denis Deschamps, directeur général du Cégep de Victoriaville.
Une collectivité en croissance
En développant le secteur industriel, on fait aussi croître la communauté. Les deux institutions collégiales sont aussi prêtes à répondre aux besoins de formation d’une population qui grandit, notamment par leurs programmes d’AEC Techniques d’éducation à l’enfance, Agent en support à la gestion des ressources humaines, Soutien administratif et bureautique, Développement et mobilisation des communautés locales, et plus encore. Les centres de services scolaires, les cégeps de Shawinigan, de Trois-Rivières ainsi que l’UQTR participeront également à l’élaboration de l’offre selon leurs expertises respectives.
« L’ajout d’une offre de cours des cégeps de Victoriaville et Drummondville à Bécancour est une excellente nouvelle pour notre communauté et c’est une grande fierté pour la Ville de faire partie prenante de ce projet innovant. Je salue l’agilité et la souplesse de ces deux institutions scolaires qui ajustent leur offre aux besoins grandissants de notre territoire, et ce, autant pour les entreprises actuelles que celles à venir », exprime la mairesse de Bécancour, Mme Lucie Allard. L’implication des deux cégeps dans les travaux du comité d’action sur la main-d’œuvre contribue d’ailleurs à trouver des solutions concrètes permettant de répondre à la pénurie dans la région.
Comme tout nouveau projet de cette importance, le développement de la Filière Batteries a un impact considérable sur la disponibilité des locaux dans la ville. Dans le but de rapidement pouvoir offrir ses premières formations, les deux institutions et la ville de Bécancour travaillent activement à la recherche d’espaces adaptés dans la municipalité et ses environs. Plusieurs options sont étudiées et d’autres annonces viendront en 2023.
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Mise sur pied d'un plan pour faciliter l'accès à l'habitation pour la population de Granby
3 mai 2022
Mme Julie Bourdon, mairesse de Granby, travaille actuellement avec un comité à l’élaboration d’un plan d’habitation pour venir en aide aux personnes ayant besoin d’aide à se loger.
Alors que le 1er juillet approche à grands pas, la pénurie de logements vient compliquer les démarches de bien des gens. Le conseil municipal est très conscient des enjeux reliés à cette pénurie. Par ailleurs, l’Office d’habitation Haute-Yamaska Rouville (OHHYR) procédera à l’embauche d’une ressource afin que celle-ci puisse agir comme agent de liaison entre les citoyennes et les citoyens, les promoteurs et les propriétaires d’immeubles. La Ville assumera les coûts liés à l’embauche de cette ressource jusqu’à ce que la subvention du programme Service d’aide à la recherche de logement (SARL) soit disponible.
Pour répondre adéquatement aux enjeux liés à la pénurie de logements, un comité d’urgence a été créé. Ce dernier est composé de Mme Julie Bourdon, mairesse de Granby, de Mme Geneviève Rheault et M. Robert Riel, conseillers municipaux, de M. Guy Mongeau, directeur général de l’OHHYR, de M. Éric Goudreau, conseiller au développement social à la Ville de Granby et de M. Michel Pinault, directeur général de la Ville de Granby.
Logement abordable
Dans le contexte actuel où le taux de logements vacants est très bas, la Ville de Granby s’est donné comme objectif d’augmenter l’offre en logements abordables, en particulier pour le logement locatif pour les familles. Le conseil municipal est donc fier d’appuyer deux projets qui permettront d’atteindre cet objectif.
Lors de la séance du conseil du 2 mai dernier, le conseil a ainsi confirmé l’intention de la Ville de céder un terrain situé au 80, rue Simonds Sud à l’OHHYR pour y aménager un projet pouvant compter jusqu’à 90 unités de logements sociaux et abordables. La cession de ce terrain représente une contribution de la Ville de 1,3 M$.
Les membres du conseil ont également réitéré leur appui au projet de la Coopérative de solidarité Holocie sur la rue Saint-Georges, lequel permettra la construction de 28 logements abordables, dont deux pouvant être qualifiés de bigénérationnel. La participation financière de la Ville est estimée à 1 372 926 $. Ce projet s’inscrit désormais dans le nouveau Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ) annoncé en février dernier par le gouvernement du Québec.
Des mini-maisons à Granby
Une nouvelle mesure innovante est également mise sur pied pour contribuer à contrer le problème d’accès au logement. En effet, il sera dorénavant possible de construire une « unité d’habitation accessoire » dans la cour arrière et latérale d’une habitation principale. Cette façon de penser l’organisation urbaine contribue notamment à l’atteinte des objectifs de révision de l’espace à l’intérieur du périmètre d’urbanisation.
« La pénurie de logements est une réalité cruelle pour trop de gens, et toutes les initiatives nous permettant de venir en aide à celles et à ceux qui sont touchés par ce problème d’accès au logement doivent être envisagées », a déclaré Mme Julie Bourdon.
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Une œuvre d’art créée en collaboration avec la communauté ukrainienne
La Ville s’enrichit d’une œuvre de l’artiste Giorgia Volpe, réalisée en collaboration avec la communauté ukrainienne de l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie. Venez admirer « Entrelacs » au parc de l’Ukraine, à l’angle de la rue de Bellechasse et de la 12e Avenue.
Inspirée des œufs traditionnels ukrainiens
Giorgia Volpe a travaillé en étroite collaboration avec la communauté ukrainienne, qui est implantée dans le quartier Rosemont depuis le 19e siècle. « Entrelacs » est située devant la cathédrale orthodoxe ukrainienne Sainte-Sophie. Inspirée de la forme des « pysanky », œufs traditionnels ukrainiens, l’œuvre est constituée d’un entrelacement de rubans déployés tel un tissage. Par sa forme dynamique, elle transforme le point de vue des visiteurs selon leur emplacement.
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Land Back – la Biennale d’art contemporain autochtone en exclusivité à Québec
Québec, le 4 mai 2022 – La Ville de Québec invite les citoyens à découvrir l’exposition intitulée Land Back, produite par la Biennale d’art contemporain autochtone (BACA). Cette sixième présentation de la Biennale se déploie dans huit lieux à travers la province, dont un seul à Québec : la Maison des Jésuites de Sillery.
L’exposition accueille les œuvres des artistes autochtones Carey Newman, Jacob Meders, Roxanne Charles-George, Pat Kane et Lisa Jackson. Le commissaire, M. Michael Patten, a participé à de nombreuses expositions individuelles et collectives à l’échelle nationale et internationale, en tant qu’artiste et administrateur.
Retour à la terre
Le rapport à la terre et le déracinement font partie intégrante de l’exposition. Depuis des siècles, les peuples autochtones ont préservé la biodiversité, malgré la croissance continue de la population humaine. Si Land Back se veut un appel à l’action, un retour d’équité sur un territoire dérobé, il permet aussi de s’ouvrir à un certain questionnement. Comment pouvons-nous protéger au mieux la biodiversité, les terres et les eaux? Le savoir autochtone est ancré dans la durabilité, la conservation et la réciprocité avec la terre. Comment ce savoir est-il partagé, célébré et exprimé dans les pratiques artistiques actuelles?
Gratuite pour tous, l’exposition est présentée à la Maison des Jésuites de Sillery, située au 2320, chemin du Foulon. Elle est ouverte aux visiteurs du mercredi au dimanche, de 13 h à 17 h, du 4 mai au 20 novembre 2022. En période estivale, l’ouverture sera prolongée du mardi au dimanche, de 11 h à 17 h.
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L’image de marque « Rouyn-Noranda Douce Rebelle » finaliste au concours des Plumes d’excellence de l’ACMQ
La Ville de Rouyn-Noranda est fière d’être finaliste au concours des Plumes d’excellence 2022 organisé par l’Association des communicateurs municipaux du Québec (ACMQ). Elle se qualifie dans la catégorie « Identité visuelle ou culturelle » pour le projet : Image de marque Rouyn-Noranda Douce Rebelle aux côtés des villes de Matane et de Rimouski.
Parmi 96 projets soumis cette année au concours des Plumes d’excellence, la Ville s’est qualifiée aux côtés de 36 finalistes toutes catégories confondues. La sélection a été faite par un jury composé de quatre membres, sous la présidence de M. Louis Latraverse pour 2e année consécutive. Quatre grands critères ont été évalués soit : la stratégie de communication, la qualité et l’originalité conceptuelle, la qualité artistique et la force des résultats.
« Cette nomination est accueillie avec bonheur alors que Rouyn-Noranda Douce Rebelle est le fruit d’un long travail visant à doter notre territoire d’une image de marque distinctive qui met de l’avant le caractère audacieux, fonceur et accueillant de la communauté rouynorandienne », partage la mairesse, Mme Diane Dallaire.
Les lauréats seront dévoilés lors du Gala des Plumes d’excellence le jeudi 2 juin, à Trois-Rivières, dans le cadre du 43e colloque de l’ACMQ. La Ville pourrait aussi repartir avec d’autres prix, tels que la Plume Innovation, la Plume Coup de cœur ou encore la Grande Plume décernée à la réalisation qui s’est le plus démarquée parmi toutes les Plumes d’excellence.
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En famille, Rouyn-Noranda c’est loin… d’être plate!
La Ville de Rouyn-Noranda lance une campagne visant le tourisme culturel auprès des jeunes familles. Que ce soit pour un court ou long séjour, à Rouyn-Noranda la culture c’est un vrai jeu d’enfant! Elle est amusante, partout et accessible tout au long de l’année.
Cette campagne diffusée sur les médias sociaux nous dévoile deux vidéos où l’on suit une jeune famille qui explore le côté culturel de Rouyn-Noranda en deux journées bien remplies. La première vidéo est déjà disponible et la seconde sera lancée dans les prochains jours. Un lien vers une page web hébergée sur le site de Tourisme Rouyn-Noranda permet de constater les nombreux exemples d’expériences culturelles adaptées aux familles.
Pour agrémenter le séjour des familles qui viendront visiter Rouyn-Noranda cet été, un rallye culturel créé à partir d’œuvres d’art public est proposé. Ce rallye est accessible à tous, mais les familles venant de l’extérieur de Rouyn-Noranda qui le termineront auront droit à une quadruple récompense. La Ville remercie d’ailleurs les partenaires de ce rallye : le Glass bar laitier, le Musée d'art et le Magasin général Dumulon.
Cette campagne est réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Rouyn-Noranda dans le cadre de l’Entente de développement culturel ainsi qu’à une collaboration avec le Centre local de développement Rouyn-Noranda (CLD RN). La signature de la campagne a été créée par Stéphanie Cloutier et les vidéos réalisés par Étienne Jacques.
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Politique de soutien aux organismes : 42 projets soutenus
Lors de la séance publique du conseil municipal du 30 mai dernier, la Ville de Rouyn-Noranda octroyait une aide financière à 42 projets dans le cadre des programmes financiers de la Politique de soutien aux organismes (PSO). Au total, c’est un montant de 188 391 $ qui sera remis à des organismes du milieu urbain et rural.
Plusieurs projets de qualité ont été déposés dans les trois programmes suivants : achat d’équipements; projets d’aménagement et événements locaux. Les organismes ont démontré leur résilience et leur désir de reprendre des activités innovantes après deux années de pandémie.
« En tant qu’élu municipal, il est très stimulant de constater la reprise des activités et la mobilisation des organismes après cette période pandémique. L’ensemble des quartiers a proposé des projets novateurs qui favorisent le maintien et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens. La Ville de Rouyn-Noranda accorde une place importante aux organismes puisqu'ils participent activement au développement d'une offre de services en sport, en loisir, en plein air, en culture et en développement des communautés », déclare Mme Samuelle Ramsay-Houle, présidente du comité de soutien aux organismes et conseillère municipale.
Les organismes sont invités à cogiter leur prochain projet à mettre en place en vue de l’appel de projets qui sera lancé le 15 septembre et dont la date limite de dépôt sera le 31 octobre prochain.
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Regard vers l’international pour la MRC de Témiscamingue
Ville-Marie, le 17 mars 2022
Lors de la séance de conseil du 16 mars, les élus de la MRC ont porté leur regard sur l’international, par la préparation d’une mission exploratoire du côté de la France et avec un appui au peuple ukrainien, dans un mouvement initié par la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Après une pause forcée liée à la pandémie, le programme de coopération Prospective stratégique territoriale, liant la MRC aux territoires français d’Erdre et Gesvres ainsi qu’au Sud Lozère, est à nouveau actif et le comité a repris les travaux afin d’orchestrer la venue du Témiscamingue en sol français. Prévue du 2 au 13 mai 2022, cette mission exploratoire vise à s’inspirer quant au renouvellement de la stratégie d’attractivité territoriale, ainsi qu’au niveau des méthodes d’anticipation stratégique. Cette mission fait suite au passage de la délégation française au Témiscamingue, qui avait eu lieu en octobre 2019. Ainsi, une cohorte composée d’élus et de représentants de différentes sphères d’activité du territoire, soit une douzaine de personnes, formeront la délégation témiscamienne.
Face à la situation internationale actuelle, la MRC ainsi que les municipalités membres de la fédération ont répondu à l’appel de la FQM afin de poser un geste de solidarité envers le peuple ukrainien en adoptant une résolution d’urgence. Cette résolution condamne avec fermeté l’invasion de l’Ukraine par la Russie et permet à la MRC de joindre sa voix au concert des nations pour appeler la Russie à mettre fin à son agression en retirant toutes ses forces de l’Ukraine et en réglant ses différents par la voie de la diplomatie. L’adoption de cette résolution envoie du même coup un signal clair au gouvernement du Canada de prendre toutes les mesures nécessaires pour amener la Russie à abandonner la guerre qui sévit actuellement. La MRC emboite donc le pas, comme d’autres localités du territoire, afin de participer à l’effort de solidarité envers le peuple ukrainien. « Une voix seule peut porter son message, mais c’est à travers l’ensemble de nos voix réunies que nous pourrons réellement influencer le cours des évènements dans le conflit russo-ukrainien actuel. Il n’y a pas de trop petit message, il y a un message solidaire, uni et puissant qui résonne haut et fort pour l’Ukraine et pour sa population! », a exprimé la préfète de la MRC, Claire Bolduc.
Autres faits saillants
o Prise de position ferme pour des soins de santé et des services adéquats pour les aînés du Témiscamingue;
o Autorisation de procéder à l’embauche d’un agent de développement numérique, qui accompagnera le milieu quant aux possibilités qu’offre maintenant le déploiement numérique sur le territoire;
o Autorisation du lancement de l’appel d’offre pour la mise en place d’un nouveau système efficient en communication incendie;
o Adhésion de la MRC comme membre de la nouvelle coopérative Tricentris, avec qui elle faisait déjà affaire au niveau des matières recyclables;
o Nomination de Sami Bdiri à titre de greffier et trésorier adjoint au sein de la MRC.
La prochaine séance du conseil aura lieu le 20 avril 2022.
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Des véhicules hybrides et électriques pour la Ville de Granby
21 février 2022
De 2022 à 2024, la Ville de Granby fera l’achat de sept nouveaux véhicules, dont cinq voitures hybrides, deux véhicules électriques et une fourgonnette afin de remplacer des véhicules ayant atteint leur fin de vie utile.
La dépense totale s’élève approximativement à 425 000 $, taxes incluses, et l’acquisition s’effectuera par l’intermédiaire du regroupement d’achats du Centre d’acquisitions gouvernementales (CAG). Le montant proviendra directement du fonds des dépenses en immobilisations.
Répartition des nouveaux véhicules
Le Service de police recevra trois Ford Explorer hybrides, un Ford Transit entièrement électrique et un Kia Niro hybride. La bibliothèque, quant à elle, recevra un Ford Transit entièrement électrique, tandis que la Division des bâtiments aura un Dodge Ram ProMaster.
« Le remplacement de certains véhicules de la flotte municipal était prévu au budget de la Ville, et l’approche selon laquelle on privilégie l’achat de voitures hybrides ou électriques est une nouveauté à Granby. Elle s’inscrit parfaitement dans notre volonté d’adhérer aux bonnes pratiques en matière de protection de l’environnement », a laissé savoir la mairesse de Granby, madame Julie Bourdon.
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APPEL DE PROJETS- PROGRAMME D'INNOVATION CULTURELLE ET NUMÉRIQUE (PICN) 2022 (22-001)
2/16/2022
Le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges est fier de lancer aujourd'hui l'édition 2022 du Programme d'innovation culturelle et numérique (PICN), afin de faciliter l’émergence de projets culturels innovants sur le territoire de la MRC de Vaudreuil-Soulanges.
En 2021, le CACVS a fusionné les programmes d’Innovation Culturelle (PIC) et d’Innovation Numérique (PIN), afin que les projets culturels innovants soient tous considérés admissibles, que ceux-ci proposent une approche traditionnelle ou une approche numérique.
Le PICN vise à permettre aux porteurs de dossiers d’aborder les possibilités d’innovation en matière sociale, environnementale et économique au sein des communautés, en utilisant la culture comme outil de changement positif, afin de nous aider à assurer un avenir solide et dynamique pour la région de Vaudreuil-Soulanges, à commencer par une relance durable du secteur culturel.
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Douce Rebelle en images: un outil d’attractivité et de fierté
Jeudi, 20 janvier 2022
La Ville de Rouyn-Noranda est extrêmement fière de présenter sa nouvelle bande-annonce en lien avec l’image Douce Rebelle. En juin dernier, un teaser avait été présenté lors du dévoilement de l’image de marque afin de présenter un avant-goût du produit final.
Quelques mois plus tard, la Ville présente un produit dynamique empreint d’émotions qui permet de concrétiser l’identité de Rouyn-Noranda. La musique évolutive au fil des images authentiques et éclatantes démontre bien la dualité entre le « douce » et le « rebelle ». « Cette vidéo promotionnelle met en évidence la beauté naturelle de notre territoire, autant en milieu urbain qu’en milieu rural, mais par-dessus tout elle démontre la chaleur humaine des citoyennes et citoyens de Rouyn-Noranda de toutes les générations et de tous les horizons. Soyons fiers de notre identité, notre authenticité et notre originalité. Soyons Douce Rebelle! », exprime la mairesse suppléante et conseillère du district Évain, Mme Samuelle Ramsay-Houle.
Cette bande-annonce servira à la Ville de Rouyn-Noranda, mais également aux organismes qui réalisent des activités d’attractivité ou de recrutement ainsi qu’aux employeurs et institutions d’enseignement afin de faire découvrir Rouyn-Noranda. « C’était important d’offrir un produit qui pourrait être utilisé par nos partenaires. Un autre objectif était également que les citoyennes et citoyens puissent la partager facilement et montrer au monde entier leur fierté. Une minute quarante-cinq pour convaincre tout futur Rouynorandien que sa place est ici, à Rouyn-Noranda », termine Mme Samuelle Ramsay-Houle.
La vidéo a été réalisée par Productions 3 Tiers, en collaboration avec CC. Consultants. La musique est une création originale d’Uberko, à laquelle Christian Poulin a ajouté des percussions. Les figurants ont accepté gracieusement de participer au projet.
Pour visionner la bande-annonce :
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Politique de soutien aux organismes : 71 projets soutenus
Mercredi, 12 janvier 2022
Lors de la séance publique du conseil municipal du 10 janvier dernier, la Ville de Rouyn-Noranda octroyait une aide financière à 71 projets dans le cadre des programmes financiers de la Politique de soutien aux organismes (PSO). Au total, c’est un montant de 837 187 $ qui sera remis à des organismes du milieu urbain et rural.
Les projets soutenus sont variés et en complémentarité avec les orientations municipales, que ce soit l’achat d’équipements; des projets d’aménagement; la création, la production et la diffusion culturelles et artistiques; les événements locaux et les grands événements; le soutien communautaire. Dans le contexte pandémique actuel, les organismes ont déposé des projets créatifs et novateurs qui répondent aux besoins actuels.
« Le conseil municipal reconnait l’apport significatif des différents organismes sur le territoire de Rouyn-Noranda et souhaite les appuyer financièrement dans leurs différents projets. Que ce soit dans le domaine des sports, du loisir, de la culture, des arts, des événements ou de la vie communautaire, les projets sélectionnés par la PSO permettent le maintien et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens et favorisent un milieu de vie effervescent et dynamique » déclare Mme Samuelle Ramsay-Houle, présidente du Comité de soutien aux organismes et conseillère municipale.
Les organismes sont invités à préparer leur demande en vue du deuxième appel de projets dont le lancement se fera le 15 février et dont la date limite de dépôt sera le 31 mars prochain.
Cliquez ci-bas pour consulter la liste des projets soutenus.
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Granby offre un congé d'intérêts concernant les taxes foncières
24 janvier 2022
Lors de sa dernière séance, le conseil municipal a adopté un projet de règlement visant à donner un congé d’intérêts à l’ensemble de la population sur les deux premiers versements des taxes foncières. Ainsi, entre le 28 février et le 27 juin 2022 inclusivement, tout retard concernant les paiements suivants n’entraînera aucun intérêt :
Les deux premiers versements de taxes foncières;
Les compensations annuelles (eau, égout, etc.);
Les compensations pour les services municipaux;
Les comptes complémentaires de taxes foncières venant à échéance au cours de cette période.
Cette décision est motivée par la volonté d’aider les commerçants et la population en général à surmonter la 5e vague de la pandémie de COVID-19. Le conseil souhaite ainsi contribuer à atténuer le stress qui accompagne l’ensemble des mesures visant à combattre la pandémie.
Cette mesure ne s’appliquera pas aux autres sommes dues à la Ville : droit de mutation, compensation au compteur, facturation diverse, etc.
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VIVRE EN GASPÉSIE | Solde migratoire record pour la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
SOLDE MIGRATOIRE 2020-2021 POSITIF La région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine fracasse un autre record!
Maria, le 13 janvier 2022 — Les récentes données de l’Institut de la Statistique du Québec (ISQ) sont réjouissantes pour la région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. En plus d’enregistrer son meilleur résultat à ce jour, la région est la seule dite éloignée à présenter un solde migratoire interrégional positif pour une cinquième année consécutive.
« Nous étions confiants à l’idée que la région enregistre un autre bilan migratoire positif, mais cette nouvelle est époustouflante. Ces données sont le reflet de nos constats sur le terrain et de l’indéniable engouement pour le mode de vie gaspésien qui persiste avec les années. », affirme Danik O’Connor, directeur de la Stratégie régionale Vivre en Gaspésie, qui travaille ardemment à attirer de nouvelles personnes, mais aussi à favoriser leur intégration.
Pour l’année 2020-2021, la région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine a attiré 2 907 nouvelles personnes, portant son solde migratoire interrégional à 1 378 personnes, soit son meilleur résultat depuis la compilation des données par l’ISQ. Toutes proportions gardées, la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine se classe au 4e rang de toutes les régions du Québec quant à l’ampleur des gains, juste derrière les régions des Laurentides, de l’Estrie et de Lanaudière.
L’ISQ estime que la population de la région aura augmenté de manière significative en 2020-2021, passant de 90 721 à 92 072 habitants : « la population a augmenté pour une deuxième année consécutive et la croissance s’y est accélérée de manière particulièrement notable pour atteindre un rythme supérieur à celui de la plupart des autres régions du Québec », mentionne le récent rapport de l’ISQ.
Selon Mathieu Lapointe, président du Regroupement des MRC de la Gaspésie, ces récentes statistiques sont la preuve que les efforts déployés pour renverser la tendance démographique mènent à des résultats concrets : « En 2017, la région s’est concertée et a choisi de s’attaquer à l’enjeu de la démographie en priorité. C’est à partir de ce moment que les décideurs ont appuyé la Stratégie Vivre en Gaspésie dans la concrétisation de son plan d’action, et les données démographiques subséquentes nous prouvent que ce choix était et continue d’être judicieux ».
Le dernier bilan migratoire confirme que la région a non seulement été attractive, mais aussi qu’elle a gardé sa population sur son territoire. « Il y a à peine vingt ans, on perdait environ 1 200 habitants par année au profit des autres régions. C’est l’équivalent d’un village qui fermait chaque année », explique M. O’Connor. À ce sujet, Vivre en Gaspésie est fière de constater que son travail acharné porte fruit et que ses actions en intégration, en partenariat avec les Places aux jeunes et les Services d’accueil des nouveaux arrivants du territoire, donnent les résultats escomptés.
Des gains pour chacun des territoires gaspésiens
Le portrait présenté par l’ISQ montre que l’ensemble des MRC de la Gaspésie présentent un solde migratoire interrégional positif et qu’elles ont fait des gains de population, alors que plus de 200 personnes se sont installées dans chacun de ces territoires en 2020-2021. « Il s’agit d’une excellente nouvelle pour nos différents milieux de vie qui investissent beaucoup d’énergie pour attirer de nouveaux arrivants et pour garder leur population actuelle », confie M. Lapointe.
L’effet de la pandémie
Dans son portait, l’ISQ présente quelques facteurs pouvant expliquer l’attrait des régions comme celle de la Gaspésie, dont l’accélération du déploiement du télétravail en raison de la pandémie. Bien que l’attrait de la Gaspésie pour la population québécoise était présent avant la pandémie, le contexte semble avoir remis en perspectives plusieurs éléments, dont la volonté de revenir à l’essentiel et l’urgence de vivre. Selon M. O’Connor, « c’est exactement ce que la Gaspésie propose avec ses connexions humaines, son authenticité et son immense territoire naturel. Ce n’est pas surprenant d’assister à cet engouement inégalé et à l’accélération de projets de migration dans la dernière année ».
Rappelons que la région est classée en tête de liste selon l’indice du bonheur léger comme étant la région la plus heureuse du Québec. À propos Vivre en Gaspésie est portée par une cinquantaine d’organisations partenaires. Cette stratégie régionale vise à contribuer à la croissance démographique et à l’occupation dynamique des territoires de la Gaspésie. Concrètement, ses actions s’articulent autour de trois axes : la valorisation de la région auprès de la population, l’attraction de nouvelles personnes et l’intégration des nouveaux arrivants.
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Le mont Saint-Eustache fait peau neuve!
(Saint-Eustache, le 25 janvier 2022) – À compter du 30 janvier, les glissades du mont Saint-Eustache (360, rue Boileau), fraîchement enneigées et aménagées, seront accessibles aux amateurs de sports d’hiver.
En effet, le mont proposera davantage de corridors de glisse et ceux-ci seront plus sécuritaires. Des zones de remontées seront également délimitées entre chaque corridor. Il suffit d’apporter vos accessoires de glisse tels que luge, tapis à neige, soucoupe, pour bénéficier de cette activité hivernale incontournable. Pour des raisons de sécurité, l’usage de skis ou de planches à neige est interdit.
Des surveillants seront sur place entre 9 h et 17 h les fins de semaine, dépendamment des conditions de neige observées sur la pente. Notez que le site est interdit aux enfants de 6 ans et moins non-accompagnés d'une personne responsable, et qu’une surveillance parentale est fortement recommandée pour les enfants de 7 à 12 ans.
Rappelons que l’accès au parc est gratuit pour tous. Le chalet et les toilettes demeurent accessibles. Toutefois, le port du masque est obligatoire à l’intérieur et une capacité maximale d’usagers présents simultanément dans le bâtiment est observée.
Pour connaître tous les détails ainsi que l’état des glissades, visitez la page patinoires extérieures, sentier de patin et glissade sur le site Internet de la Ville, ou communiquez avec le Service du sport et du plein air au 450 974-5111.
En terminant, soulignons que cette initiative est réalisée en partenariat avec la Caisse Desjardins Saint-Eustache-Deux-Montagnes.
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La Ville de Waterloo reçoit 4 Fleurons lors de la soirée de gala du 16e dévoilement des Fleurons du Québec à Saint- Hyacinthe.
Waterloo, Québec — 10 décembre 2021
Le jeudi 9 décembre, la Ville de Waterloo s’est vu renouveler ses 4 Fleurons dans le cadre de la soirée de gala du 16e dévoilement des Fleurons du Québec qui s’est tenu à Saint-Hyacinthe.
La municipalité se démarque avec force au niveau des initiatives communautaires et du développement durable, comme l’indique d’ailleurs le rapport d’évaluation final : Les soins apportés à la ville sont impeccables. Il est très agréable de se promener d’un parc à l’autre, d’un quartier à l’autre et de découvrir le charme horticole de Waterloo. Les initiatives communautaires et de développement durable entreprises autant par la ville que par la population de Waterloo démontrent très bien qu’il est possible d’embellir son milieu de vie en coopérant ensemble. Les efforts municipaux et institutionnels sont également soulignés de manière significative en relatant entre autres l’aménagement du superbe parc Denise-Lauzière, la présence soutenue d’arbres matures, d’îlots et d’espaces verts, ainsi que les nombreux massifs floraux et les agencements distinctifs qui ornent la ville, habilement mis en valeur par La Paysanne ND, l’équipe d’aménagistes paysagers avec qui la municipalité travaille depuis près de 10 ans.
Chaque année, nous recevons de nombreux commentaires positifs sur nos aménagements paysagers, autant des citoyens que des visiteurs. Nous sommes très heureux de recevoir cette reconnaissance de 4 Fleurons venant confirmer que nos efforts à l’embellissement de notre ville portent fruit. – Jean-Marie Lachapelle, maire. La Ville de Waterloo a également reçu le prix Reconnaissance en verdissement – Catégorie 5 000 habitants et moins, pour son projet de création de jardins intelligents en vue d’assurer la santé du lac Waterloo et de recharger la nappe phréatique, une initiative menée en collaboration avec Action Lac Waterloo, OBV Yamaska. LE PRIX RECONNAISSANCE EN VERDISSEMENT Ce prix souligne les projets novateurs de végétalisation de surfaces inexploitées, de revitalisation de sites par la végétalisation, de développement durable et d’initiatives communautaires visant le verdissement, le design écologique ou la préservation d’espaces verts naturels. Les jardins intelligents sont en fait des aires de bio rétention visant à réduire le ruissellement urbain et le traitement des eaux de pluie qui contribuent à la moitié des apports externes en phosphore dans le bassin versant du lac Waterloo, en plus de contribuer à recharger la nappe phréatique.
Le concept est inspiré du programme « Rain Garden » réalisé à Seattle aux États-Unis. L’objectif principal est donc de multiplier le nombre de jardins intelligents privés (résidentiels et commerciaux) sur le territoire faisant appel à l’engagement et au pouvoir d’action citoyen. La création de jardins intelligents contribue à la diminution de la mauvaise qualité de l’eau du lac puisqu’il peut, à lui seul, absorber 80 à 85% de l’eau de son aire de drainage. De plus, les végétaux qu’on y plante doivent être à 50% indigènes, ils poussent donc spontanément au Québec sans que l’homme ait besoin d’intervenir. Facile à cultiver, ils répondent parfaitement aux besoins des pollinisateurs et des oiseaux.
Le projet de création de jardins intelligents sur l’ensemble du territoire en est un qui nous tient à cœur, bien sûr pour son impact sur l’environnement, mais aussi pour la démonstration évidente qu’en travaillant en collaboration, des projets porteurs et structurants voient le jour. Le rayonnement au-delà de notre territoire est une plus-value et une autre reconnaissance encourageante à poursuivre notre travail. – ajoute Jean-Marie Lachapelle, maire. Une subvention de la MRC de la Haute-Yamaska de 60 000$ soutenue par le Fonds de développement des communautés a été octroyée et un montant de 15 000$ servira à donner des subventions incitatives. Une contribution de 25 000$ de la Ville de Waterloo ainsi que de l’expertise de ses différents services sont fournies et une contribution de 4 800$ de ALW favorise également la mise en œuvre du projet.
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La Ville de Waterloo reçoit le Prix Créativité dans le cadre du 34 e colloque Rues principales.
Le mercredi 27 octobre, la Ville de Waterloo recevait le Prix Créativité dans le cadre du 34 e colloque Rues
principales qui s’est tenu à Trois-Rivières. Près de 250 personnes venues des quatre coins du Québec, et même du
Nouveau-Brunswick, étaient présentes à cette journée organisée sous le thème de Lieux communs, lieux
d’exception – pour une relance de nos cœurs de collectivités. Dans le cadre de ce rassemblement, quatre prix
étaient décernés (Accomplissement, Créativité, Excellence et Personnalité) et huit municipalités de toute envergure
étaient en liste avec des réalisations tout aussi inspirantes que novatrices (Verchères, Granby, Farnham, Saguenay,
Saint-Rémi, Montebello et Sherbrooke).
LE PRIX CRÉATIVITÉ
Ce prix reconnaît la capacité d’une collectivité à imaginer et à réaliser un projet nouveau et original
en vue de répondre à un enjeu ou une problématique à laquelle elle fait face. Le projet peut
embrasser une ou plusieurs facettes du développement local tout en représentant une façon
renouvelée, mais empreinte de l’identité locale d’aborder le défi. Le caractère innovant ou la prise
de risque dans l’élaboration de la solution mise de l’avant caractérise ce prix.
La candidature déposée en septembre dernier devait faire état des réalisations accomplies dans les volets
Mobilisation et organisation, Marketing territorial, Développement commercial, Aménagement et design ainsi que
Mise en valeur du patrimoine bâti. La candidature relevait donc quelques accomplissements de son plan d’action de
la dernière année, notamment :
- Le lancement d’une 2e phase de revitalisation du centre-ville.
- Le déploiement d’une stratégie de marketing territorial.
- La bonification du circuit patrimonial.
- La réalisation d’un inventaire patrimonial des bâtisses du centre-ville.
- Le lancement d’une politique pour le soutien en développement économique.
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Fonds Région-Ruralité - Six projets reçoivent 143 510 $
Ville-Marie, le 22 octobre 2021 – Mercredi, dans le cadre de la séance de conseil du 20 octobre, six projets déposés au
Fonds Région-Ruralité (FRR) ont obtenus l’appui financier demandé, voté unanimement par les membres du Conseil et
totalisant un investissement de 143 510 $, pour des coûts de projets totalisant 910 828 $. Tous ces projets touchent
directement la qualité de vie des milieux concernés.
En effet, la coordonnatrice du comité du GAMME, Véronic Beaulé, a fait la présentation des projets recommandés pour le
volet 1 – municipalité et organisme et volet 2-Projets spéciaux, dans le cadre de ce 3e appel à projet, qui se terminait le 28
septembre dernier. Plusieurs projets concernent la création ou l’amélioration de parcs et d’aires de jeux extérieures, afin
de permettre une plus grande offre en matière de loisirs et de sports. « Nous avons des Politiques familiales et des Politiques
MADA, nous collaborons aux efforts pour favoriser des milieux de vie actifs pour la santé et le bien-être des personnes,
alors il nous a été naturel d’appuyer tous ces projets, et même de bonifier la demande présentée dans le cadre du projet
Second Souffle du Groupe Image » d’affirmer Claire Bolduc, préfète de la MRCT. « Nous sommes tous très heureux de
soutenir et d’accompagner les municipalités et les organismes dans ces actions » a-t-elle ajouté.
Détails des projets acceptés :
- Soutien de 30 000 $ pour le projet de parc de jeu d’eau à Notre-Dame-du-Nord;
- Soutien de 5300 $ à l’ACTIA pour son projet de murale qui recouvrirait les deux grandes façades de l’organisme;
- Soutien de 9000 $ au projet de patinoire extérieure multisport 4 saisons, présenté par la municipalité de Nédélec;
- Soutien du projet d'améliorations des infrastructures de Becs et Jardins, présenté par l'organisme Sentier Urbain,
pour un montant de 9210 $;
- Soutien de 30 000 $ pour le projet d'amélioration du Parc Richelieu, présenté par la municipalité de St-Bruno-de-
Guigues. Projet provenant des jeunes du milieu et répond à un besoin de sécurité des utilisateurs.
Finalement, pour le volet-Projets spéciaux, le projet « Second souffle » du Groupe IMAGE, qui vise la création d’un service
d’hébergement de transition pour un total de 4 à 5 logements sociaux destinés aux hommes et aux pères provenant de
milieux socio-économiques défavorisés, a reçu un appui financier de 60 000$. L’organisation ayant bien démontré la
pérennité du projet, le Conseil a donné son aval, tenant également compte de l’envergure de ce projet et du besoin.
Finalement, le Conseil a également souligné l’apport important de Monia Jacques, en adoptant une motion de félicitations
à son endroit pour ses 10 années de service à la MRCT. La prochaine séance de conseil aura lieu le mercredi 24 novembre.
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Industrie maritime au Saguenay-Lac-Saint-Jean : un écosystème de 2,7 G$ et une solution d’avenir durable pour le transport de marchandises
Saguenay, le 14 octobre 2021 –
Une étude de la firme Raymond Chabot Grant Thornton confirme l’importance du secteur maritime
comme colonne vertébrale du développement et la diversification économique responsable de la région
Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, l’industrie maritime représente un
écosystème générant des retombées économiques de plus 2,7 G$ par année, soutenant
directement et indirectement plus de 7100 emplois à la grandeur du territoire. Cette filière stratégique
permet également aux entreprises régionales de profiter d’avantages concurrentiels importants et
d’une porte d’accès directe à l’économie nord-américaine et mondiale, tout en leur fournissant une
solution pratique et efficace pour les aider à réduire les émissions de gaz à effet de serre générées
par le transport de leurs biens et marchandises.
Telles sont les principales conclusions d’une étude portant sur les retombées économiques générées
par les activités maritimes au Saguenay-Lac-Saint-Jean réalisée par la firme Raymond Chabot Grant
Thornton pour le compte de l’Administration portuaire du Saguenay, Rio Tinto et Promotion Saguenay,
dévoilée ce midi à l’occasion du premier Rendez-vous d’affaires de la saison organisé par la
Chambre de commerce et d’industrie Saguenay-Le Fjord.
Faits saillants
Les données de l’étude révèlent ainsi que l’écosystème maritime du Saguenay-Lac-Saint-Jean, formé
des trois piliers que représentent le terminal maritime de Port de Saguenay, à Grande-Anse, les
installations maritimes de Rio Tinto à La Baie ainsi que le port d’escale pour navires de croisières
internationales du même arrondissement, génèrent des retombées économiques annuelles globales
de 2,7 G$ et assurent le maintien de plus de 7000 emplois de qualité, diversifiés et bien rémunérés sur
l’ensemble du territoire régional, en plus de servir de colonne vertébrale et de socle à ses industries
phares telle que la filière de l’aluminium.
Ainsi, le rapport évalue à quelque 900 M$ la valeur des
marchandises et produits transbordés par navires chaque année au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Les Installations portuaires de Rio Tinto sont essentielles aux activités de l’entreprise dans la région du
Saguenay–Lac-Saint-Jean. La valeur des matières premières transbordées dans les installations
maritimes de la région est présentement de 750 M$ par année. En 2019, elles ont contribué à une
production de 1,26 million de tonnes d’aluminium et de 1,52 million de tonnes d’alumine et de produits
de spécialité (hydrate superblanc, fluorure d’aluminium, anhydrite), approvisionnant la majorité des
usines d’électrolyse dans la région.
De même, l’étude confirme l’importance du port d’escale de croisières internationales de Saguenay
en matière de retombées économiques, dont les dépenses touristiques des croisiéristes sont, à elles
seules, évaluées à près de 8 M$ en 2019, mais également à titre de vitrine mondiale pour la notoriété
de la région et de ses grands attraits touristiques, Saguenay s’étant hissé au 3e rang des ports d’escale
les plus fréquentés au Québec.
L’ampleur des retombées générées et des emplois créés et maintenus par l’industrie maritime au
Saguenay-Lac-Saint-Jean est appelée à croître puisque, comme noté dans le rapport, des
investissements dépassant la barre des 500 M$ sont actuellement prévus à brève échéance ou en
cours de réalisation au sein de la filière, notamment au Port de Saguenay et aux installations
portuaires de Rio Tinto.
Un avantage concurrentiel important, durable et responsable
Les conclusions du rapport démontrent par ailleurs l’ampleur de l’avantage concurrentiel majeur
offert aux entreprises et aux promoteurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean par l’accès direct aux marchés
nord-américains et mondiaux grâce à la voie maritime du Saguenay. Ceux-ci disposent en effet
grâce à l’industrie maritime régionale d’un accès sécuritaire, efficace et moins coûteux que les
moyens de transport traditionnels, ce qui leur permet de se démarquer de la concurrence et de
diminuer leurs coûts d’opération, un atout majeur sur lequel s’appuyer dans une perspective de
diversification de l’économie régionale.
De même, l’étude démontre que le transport maritime représente une solution pratique appelée à
prendre de plus en plus de place dans le cadre de la lutte contre les émissions de gaz à effet de
serre, non seulement ici, mais partout sur la planète, notamment en matière de transport sur de plus
courtes distances. En effet, l’utilisation d’un navire moyen équivaut aux capacités de transport de
963 camions lourds conventionnels. Ce même navire type est aussi en mesure de parcourir environ 4
fois plus de distance pour une même quantité d’énergie consommée, ce qui se traduit concrètement
par une réduction de la pollution de l’air et des émissions de GES.
Un livre pour aller plus loin
Le dévoilement de l’étude coïncide avec la sortie d’un livre portant sur l’histoire de la navigation sur
le Saguenay, écrit par l’auteur régional Dany Côté. Intitulé La rivière Saguenay : Cœur éternel du
commerce maritime, l’ouvrage retrace la longue et riche histoire de la voie maritime du Saguenay,
des Premières Nations jusqu’à l’essor des activités portuaires modernes actuelles. Le livre, enrichi de
magnifiques photos, témoigne des profondes racines maritimes du Saguenay-Lac-Saint-Jean d’hier
à aujourd’hui.
Citations
« L’étude dévoilée aujourd’hui démontre avec éloquence que le Saguenay-Lac-Saint-Jean est
véritablement une région maritime dont l’économie est étroitement liée à la navigation, et aussi
comment cette filière est cruciale pour son développement et sa diversification. Notre voie maritime
représente une fenêtre unique sur le monde, une porte d’entrée naturelle pour le Nord du Québec,
et représente notre colonne vertébrale socioéconomique. Elle fait partie de notre histoire et de notre
avenir, particulièrement dans une perspective de développement responsable et durable. Ce
rapport fournit à la région l’occasion de se réapproprier cette facette méconnue, mais vitale de son
tissu économique. »
- Carl Laberge
Président et Directeur général
Administration portuaire du Saguenay
« Cette étude nous confirme l’importance de la voie maritime pour le développement économique
et touristique de notre région. La vitalité de nos activités maritimes est essentielle à la diversification
de Saguenay et sa transition vers des économies d’avenir. »
- Patrick Bérubé
Directeur général
Promotion Saguenay
« Dans toutes les étapes de notre histoire, le Fjord du Saguenay et sa voie navigable ont été au cœur
de notre développement. Depuis près de cent ans, les Installations portuaires alimentent en matières
premières de qualité nos installations régionales pour produire de l’aluminium à faible teneur en
carbone au Saguenay-Lac-Saint-Jean. C’est avec le regard tourné vers l'avenir que nous avons
récemment annoncé un investissement de 105 millions de dollars pour moderniser nos Installations
portuaires de Port-Alfred. »
-Martin Lavoie
Directeur de l’Usine Vaudreuil, des Installations portuaires et des Services ferroviaires pour Rio Tinto
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PIT CARIBOU INVESTIRA PRÈS DE 1,5 MILLION DE DOLLARS SUR LA NOUVELLE RUE COMMERCIALE ÉCO CONSCIENTE DE PERCÉ !
Percé, le 29 septembre 2021 — Le conseil municipal a accepté hier, sur recommandation d’experts,
la proposition d’achat de messieurs Vincent Coderre et Jean-François Nellis de la microbrasserie
gaspésienne Pit Caribou, de 180 000$ pour l’achat d’un terrain décrivant un plan de construction
estimé à près de 1,5 million de dollars, sur la prochaine rue commerciale éco consciente de Percé.
La Ville est très satisfaite de ce résultat qui représente un grand pas dans la bonne direction.
« Malgré la pandémie, la crise des couts de la construction survenue en pleine période d’appel
d’offres, l’incertitude au niveau du bois d’œuvre et tous ces facteurs qui ont pu en décourager
plus d’un, Percé a su attirer un entrepreneur qui croit en notre vision de développement et qui
s’est engagé à y investir près de 2 millions de dollars, je pense que ça envoie un signal très fort
du rayonnement de notre belle ville », se réjouit la mairesse de Percé, Cathy Poirier.
« Nous sommes vraiment honorés, heureux et reconnaissants, car cela représente un très beau
début pour le développement tant attendu du cœur de Percé », poursuit la mairesse.
La Ville continue la vente des terrains en restant sur son concept de créer un milieu de vie et est
convaincue qu’après cette annonce les promoteurs seront encore plus attirés à investir dans son
projet.
« Notre stratégie sera de cibler les entreprises locataires pouvant offrir des services recherchés
à Percé et des investisseurs et de s’assurer de faire de bons matchs. En parallèle, notre recherche
de financement gouvernemental et institutionnel devient encore plus crédible puisque le projet
bénéficie désormais, de façon officielle, d’un apport considérable provenant du milieu
corporatif », ajoute Jean-François Kacou, directeur général de la Ville de Percé.
Pendant ce temps, le développement de la formulation d’asphalte mélangé avec du plastique
recyclé qui servira à paver la rue, avance très bien. La Ville a reçu à la fin juin une présentation des
résultats préliminaires des recherches réalisées par l’École de technologie supérieure (ÉTS) de
Montréal, ceux-ci sont encourageants et décrivent un fort potentiel pour la construction
d’infrastructures plus compétitives.
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Rouyn-Noranda accueillante et inclusive 2022-2024
Rouyn-Noranda, le 20 septembre 2021 – C’est avec fierté que la Ville de Rouyn-Noranda a adopté, le
13 septembre dernier, le plan d’action triennal en matière d’accueil, d’intégration et d’établissement
durable des nouveaux Rouynorandiens. Tout en reconnaissant que les défis d’intégration peuvent être
plus grands pour les personnes issues de l’immigration, la Ville de Rouyn-Noranda souhaite que son
plan d’action réponde aux besoins de toutes les personnes qui choisissent de s’installer à
Rouyn-Noranda pour y vivre, y travailler ou y étudier, peu importe leur pays, leur région ou leur ville
d’origine.
L’élaboration de ce plan a été rendue possible grâce à un soutien financier du ministère de l’Immigration,
de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) dans le cadre de son programme d’appui aux
collectivités (PAC). Le PAC découle de la priorité gouvernementale de mieux intégrer les personnes
immigrantes et réunit les conditions gagnantes à cette fin en collaboration avec des partenaires
municipaux et communautaires. Les ressources et outils déployés permettront aux personnes
immigrantes de participer pleinement, en français, à la vie collective. La prochaine étape consiste à
déposer prochainement une demande de financement au MIFI, toujours dans le cadre du PAC, mais
cette fois-ci pour la réalisation des actions énoncées dans le plan.
C’est en avril 2021 que les différents partenaires du comité des nouveaux Rouynnorandiens ont débuté
leur travail. « Ce plan est le fruit de consultations auprès de nombreux partenaires et de personnes
immigrantes. Il était important pour nous que cette démarche soit réalisée en concertation avec les
acteurs du territoire et qu’une vision commune s’en dégage. Nous sommes fiers du travail colossal
accompli et avons hâte que le tout soit mis en action », affirme la mairesse, Mme Dallaire.
Avec une trentaine d’actions, le plan Rouyn-Noranda accueillante et inclusive réaffirme le leadership de
la Ville dans le dossier des nouveaux Rouynorandiens par ses quatre axes : l’amélioration des pratiques
municipales et des compétences interculturelles de son personnel, la consolidation de l’offre de services
sur le territoire en matière d’accueil des personnes nouvellement établies, la sensibilisation de la
population à l’apport de la diversité rouynorandienne, ainsi que le développement de solutions novatrices
aux barrières à l’établissement durable.
« La Ville souhaite attirer de nouveaux citoyens, mais également assurer l’établissement durable de sa
population actuelle, c’est pourquoi certaines actions sont déployées dans plus d’un plan d’action de la
Ville (ex. Plan de développement économique ou le Plan d’action de la politique culturelle). L’accueil,
l’intégration et l’établissement durable sont des enjeux transversaux! », précise la mairesse,
Mme Diane Dallaire.
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Rouyn-Noranda accueillante et inclusive 2022-2024
Le 20 septembre 2021
C’est avec fierté que la Ville de Rouyn-Noranda a adopté, le 13 septembre dernier, le plan d’action triennal en matière d’accueil, d’intégration et d’établissement durable des nouveaux Rouynorandiens.
Tout en reconnaissant que les défis d’intégration peuvent être plus grands pour les personnes issues de l’immigration, la Ville de Rouyn-Noranda souhaite que son plan d’action réponde aux besoins de toutes les personnes qui choisissent de s’installer à Rouyn-Noranda pour y vivre, y travailler ou y étudier, peu importe leur pays, leur région ou leur ville d’origine.
L’élaboration de ce plan a été rendue possible grâce à un soutien financier du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) dans le cadre de son programme d’appui aux collectivités (PAC). Le PAC découle de la priorité gouvernementale de mieux intégrer les personnes immigrantes et réunit les conditions gagnantes à cette fin en collaboration avec des partenaires municipaux et communautaires. Les ressources et outils déployés permettront aux personnes immigrantes de participer pleinement, en français, à la vie collective.
La prochaine étape consiste à déposer prochainement une demande de financement au MIFI, toujours dans le cadre du PAC, mais cette fois-ci pour la réalisation des actions énoncées dans le plan. C’est en avril 2021 que les différents partenaires du comité des nouveaux Rouynnorandiens ont débuté leur travail. « Ce plan est le fruit de consultations auprès de nombreux partenaires et de personnes immigrantes. Il était important pour nous que cette démarche soit réalisée en concertation avec les acteurs du territoire et qu’une vision commune s’en dégage.
Nous sommes fiers du travail colossal accompli et avons hâte que le tout soit mis en action », affirme la mairesse, Mme Dallaire. Avec une trentaine d’actions, le plan Rouyn-Noranda accueillante et inclusive réaffirme le leadership de la Ville dans le dossier des nouveaux Rouynorandiens par ses quatre axes : l’amélioration des pratiques municipales et des compétences interculturelles de son personnel, la consolidation de l’offre de services sur le territoire en matière d’accueil des personnes nouvellement établies, la sensibilisation de la population à l’apport de la diversité rouynorandienne, ainsi que le développement de solutions novatrices aux barrières à l’établissement durable.
« La Ville souhaite attirer de nouveaux citoyens, mais également assurer l’établissement durable de sa population actuelle, c’est pourquoi certaines actions sont déployées dans plus d’un plan d’action de la Ville (ex. Plan de développement économique ou le Plan d’action de la politique culturelle). L’accueil, l’intégration et l’établissement durable sont des enjeux transversaux! », précise la mairesse, Mme Diane Dallaire.
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REDEVANCE RÈGLEMENTAIRE POUR FINANCER SES INFRASTRUCTURES TOURISTIQUES
Percé, le 8 septembre 2021 — Lors de la séance ordinaire du conseil municipal de la Ville de Percé le 7 septembre dernier, la mairesse, madame Cathy Poirier, et le conseil municipal, annonçaient le dépôt d’un projet de règlement visant à instaurer une redevance règlementaire dont l’objet sera de financer les infrastructures touristiques municipales, et ce, dès le printemps 2022.
La redevance règlementaire portera sur la fourniture de certains biens et services, notamment la restauration, l’hébergement touristique, la vente de souvenirs et les activités récréotouristiques. Elle sera sous la forme d’un prélèvement d’un (1 $) dollar pour toute transaction supérieure à un montant de dix (10 $) dollars, effectuée par un visiteur de Percé et d’un montant d’un (1 $) dollar pour chaque nuitée facturée aux visiteurs et effectuée dans les établissements touristiques de la ville de Percé.
Il est important de noter que les personnes dont le lieu de résidence est situé sur le territoire de la Ville de Percé ou qui sont propriétaires d’une unité d’évaluation située sur le territoire de la Ville de Percé seront exemptés de cette redevance sur présentation de leur carte Citoyen qui sera effective sous peu. Ce seront les commerçants de Percé qui seront mandatés afin de percevoir la redevance. Ces derniers recevront en contrepartie une remise sur les dépôts qu’ils effectueront.
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Ensemble pour bâtir une ville carboneutre, verte et inclusive : la collectivité johannaise invitée à découvrir la nouvelle Stratégie de développement durable 2030!
3 septembre 2021//Communiqués de presse 2021
C’est avec une grande fierté que la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu invite les Johannaises et les Johannais à prendre connaissance de la Stratégie de développement durable 2030, élaborée par et pour les citoyens, à la suite d’une réflexion collective fructueuse qui a animé la communauté au cours des derniers mois.
Adoptée par le conseil municipal le 24 août 2021, la stratégie présente la vision et les deux principes directeurs qui guideront la communauté dans la mise en œuvre des actions associées aux 5 grands chantiers priorisés par la consultation, soit les écosystèmes naturels, le territoire nourricier, l’économie circulaire, la mobilité durable et l’aménagement durable du territoire.
Des activités pour célébrer!
Du 3 au 30 septembre, les citoyens sont invités à découvrir leur stratégie DD de manière éducative et ludique à travers différentes activités extérieures gratuites. Celles-ci sont accessibles tous les jours au Domaine Trinity, au parc des Éclusiers, au Centre-de-plein-air-Ronald-Beauregard, ainsi que sur le parterre extérieur de la bibliothèque Saint-Luc.
Exposition #défiDD – Au fil des panneaux joliment illustrés à la manière d’une bande dessinée, suivez les histoires de personnages sympathiques et colorés.
Voyez comment faire votre part pour améliorer votre ville.
Cueillez vos fines herbes gratuites.
Écoutez les 5 balados animés par Caroline Marion en scannant le code QR avec votre mobile.
Testez vos connaissances avec le quiz jeunesse, vous pourriez être récompensés !
Concours relève ton #défiDD – Prenez une photo de vous devant le panneau à « égoportrait » et participez au concours : une expérience DD d’une valeur de 500 $ à gagner !
Pour plus de détails sur ces activités, et pour consulter le document complet de la Stratégie de développement durable 2030 et ses annexes, visitez le sjsr.ca/durable.
Réaliser la transition
Initiée en 2020, la démarche « Apporte ta couleur pour une communauté durable » a fait appel à l’intelligence collective afin de concrétiser cette stratégie DD. Pilotée par l’Équipe DD, elle s’est nourrie de la participation du Comité sur l’environnement et le développement durable de la Ville, de l’ensemble de l’équipe municipale, ainsi que de la population et d’organisations composant la collectivité. Ce sont également plus de 300 jeunes des écoles johannaises qui ont répondu à l’appel de projets « SJSR 2030 de vos rêves. »
Dans une prochaine étape, la Ville poursuivra l’exercice à l’interne pour modifier ses pratiques en cohérence avec les orientations de la SDD et participera à sa mise en œuvre avec la collectivité. Des communautés d’action seront mises sur pied afin de poursuivre ce projet de société. Ces groupes, composés des membres de la collectivité (citoyens, organisations, Ville), veilleront notamment à élaborer des plans d’action et à réaliser des projets porteurs en partenariat.
« Je suis très heureux du chemin parcouru ensemble, afin de bâtir un projet de société plus durable pour Saint-Jean-sur-Richelieu. Vous avez été plus de 4 000 citoyens d’horizons diversifiés à participer aux activités et à enrichir les échanges, dans le but de dessiner un milieu de vie qui vous ressemble et qui répond mieux aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux actuels. Le conseil municipal et l’équipe de la Ville remercient tous celles et ceux qui ont pris part à cette démarche rassembleuse! » a déclaré le maire de Saint-Jean-sur-Richelieu, M. Alain Laplante.
« C’est avec un soutien fort de la collectivité que la Ville s’engage dans sa transition socioécologique. Plus que jamais, nous avons maintenant besoin de travailler de concert pour avoir un impact considérable. C’est la somme de toutes les bonnes pratiques qui fera la différence. Ensemble, donnons-nous une ville plus écologique et durable. » a affirmé la conseillère et présidente du Comité sur l’environnement et le développement durable, Mme Maryline Charbonneau.
Pour transmettre des questions ou des commentaires, pour partager des idées ou pour s’impliquer, on peut contacter l’équipe de la Division environnement et développement durable à : durable@sjsr.ca.
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« Faire de la diversité une source de richesse » Granby met de l’avant son plan en matière d’immigration
9 septembre 2021
Comme annoncé dans sa planification stratégique 2018-2022, la Ville de Granby accorde une grande importance à la diversité de sa communauté et à son attractivité. Ainsi, dans sa volonté d’intégration et de compréhension de la réalité des personnes immigrantes, Granby annonce l’élaboration d’un plan d’action en matière d’attraction, d’intégration citoyenne, d’établissement durable et de pleine participation des personnes immigrantes et des minorités ethnoculturelles.
Rappelons que 8 % de la population granbyenne est issue de l’immigration. C’est pourquoi la Ville reconnaît l’importance de la qualité de l’accueil et de l’intégration des personnes immigrantes dans le soutien, le développement et le dynamisme démographique, économique et culturel de son territoire. Cela va donc de soi que la Ville de Granby collabore avec Solidarité ethnique régionale de la Yamaska (SERY), qui l’appuiera dans l’élaboration du plan d’action visant à définir les activités et les projets que la municipalité souhaitera ultérieurement mettre en œuvre.
Une aide gouvernementale bienvenue
C’est ainsi que la Ville a obtenu une aide financière de 71 768 $ accordée par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) dans le cadre du Programme d’appui aux collectivités (PAC). Conjointement avec le MIFI, Granby pourra travailler à l’atteinte de plusieurs objectifs, notamment faciliter l’établissement durable des personnes immigrantes et des minorités ethnoculturelles et favoriser le développement de relations interculturelles harmonieuses ainsi que l’ouverture à la diversité.
« Nous avions annoncé qu’une de nos aspirations stratégiques était de faire de la diversité une source de richesse, et c’est en effet une des priorités de la Ville. C’est maintenant concret et réalisable grâce à ce partenariat avec le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration. Ce projet favorisera l’intégration des personnes immigrantes, et la tolérance envers la diversité, sous toutes ses formes. Cela encouragera la création de ponts, de même que de saines relations entre toutes les communautés », indique Pascal Bonin, maire de la Ville de Granby.
« Pour réussir l’intégration des personnes immigrantes, nous devons mettre à contribution l’ensemble des acteurs de la société. L’aide financière accordée par notre gouvernement permettra de faire de Granby une communauté accueillante où les personnes immigrantes peuvent se développer à la hauteur de leurs ambitions et occuper des emplois de qualité. Grâce à ces efforts concertés, nous créons les conditions gagnantes pour que nos entreprises d’ici s’appuient sur une diversité riche en talents et en compétences. »
Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et ministre responsable de la région des Laurentides
« L’aide financière accordée par notre gouvernement sera certainement très bénéfique pour l’ensemble des citoyennes et citoyens. L’intégration des personnes immigrantes passe notamment par leur développement au sein des communautés qui les accueillent. Je suis fier que la Ville de Granby puisse compter parmi ses citoyens des nouveaux arrivants qui contribueront à la richesse de notre communauté. »
Francois Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie
Un processus évolutif
En collaboration avec SERY, Granby s’affaire à mettre en place un comité de pilotage qui rassemblera plusieurs acteurs locaux, dont la Corporation de développement communautaire de la Haute-Yamaska, l’Office d’Habitation de la Haute-Yamaska-Rouville, le Service de Police de Granby, Granby Industriel, le Centre de services scolaire du Val-des-Cerfs, le Cégep de Granby, le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Estrie, la Table de concertation en immigration — Haute-Yamaska et le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration.
Au cours des prochains mois, ce comité veillera, d’une part, à suivre la progression de la démarche et, d’autre part, à apporter sa contribution dans l’identification des besoins et l’élaboration du contenu à intégrer au plan. Il sera sans doute amené à évoluer en fonction des objectifs à privilégier pour la réussite de ce projet porteur pour la collectivité.
La Ville souhaite adopter le plan d’action au printemps 2022, conformément à la convention d’aide financière pour le Programme d’appui aux collectivités.